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Citations de Michelle Marly (38)


Une femme mal parfumée n'a pas d'avenir.

Coco CHANEL
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— Je ne dis pas qu’une Eau de Chanel ne serait pas une bonne idée. D’ailleurs, la proposition venait de lui – comment pourrais-je douter de son excellence ?... Mais ce n’est pas dans mes cordes, Misia. Je sais dessiner des chapeaux, tailler des robes, mais je ne connais rien au travail d’un parfumeur. C’est un métier. Je n’y arriverai jamais toute seule. Et je ne connais personne qui puisse m’épauler dans ce domaine. Il faudrait que ce soit quelqu’un à qui je puisse faire confiance. Boy m’aurait soutenue. Mais Boy n’est plus là pour me guider, pour chercher, tâtonner et découvrir avec moi ce que doit être mon parfum.
Misia n’était pas persuadée que l’amateur d’art et de littérature qu’avait été Arthur Capel aurait été le mieux placé pour aider Coco à se mouvoir dans l’univers complexe d’un laboratoire de chimie. Mais elle garda ses réflexions pour elle et décida de prendre les choses en main.
— Yvonne Coty est une bonne amie à moi. Tu la connais aussi, n’est-ce pas ? Elle t’achète des robes, si je ne me trompe ? Bref, je pourrais lui demander de parler à son mari. François Coty sera sûrement d’accord pour t’aider. Il ne refuse jamais rien à une femme, et personne ne saurait mieux t’initier aux secrets des parfums que le plus grand fabricant de cosmétiques au monde.
— Quand nous avons parlé de créer une Eau de Chanel, Boy a pensé lui aussi à François Coty, murmura Coco.
— Eh bien, tu vois. Il avait raison.
Coco posa sur Misia ses grands yeux insondables.
— Pourquoi un homme aussi occupé que M. Coty trouverait-il du temps à me consacrer ? Et puis on dit que c’est un tyran.
— Un tyran plutôt charmant ! (Misia sourit.) Même un François Coty a ses faiblesses, sais-tu ? Yvonne m’a raconté qu’il adorait se faire mousser. On croirait le grand-duc dans La Chartreuse de Parme. Plus la personne en face de lui est célèbre, plus il est content de montrer ce qu’il sait faire. Et non seulement tu es une femme célèbre, mais tu t’apprêtes à réaliser les dernières volontés de ton amant.
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Cinq étoiles ici, cinq fleurs là-bas, un peu plus loin un Pentagone. Partout ce chiffre cinq, et ce n’était pas le fruit du hasard. Elle avait appris pour les religieux de l’ordre cistercien, le 5 avait une valeur symbolique : il représentait l’incarnation parfaite. Le nombre de pétales d’une rose est souvent un multiple de cinq, la pomme et la poire sont structurés selon cinq axes de symétrie. L’homme possède cinq sens et les prières évoquent les cinq plaies du Christ. Les religieuses elle ne lui avait pas enseigné que le cinq était aussi le chiffre de l’amour et de Vénus, la somme indivisible du chiffre masculin trois et du chiffre féminin deux.
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Quand un producteur veut quelque chose, il l’obtient. Mais tu as raison, nous devons prendre en compte tes prochains tournages, car les dates de ton film suivant sont déjà arrêtées et je ne pense pas que la production allemande va attendre que tu t’entendes mieux avec Alain Delon.
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Le parfum lui trottait dans la tête ou plutôt y flottait, telle l'émanation légère d'un souvenir. C'était exactement cet effet qu'elle attendait de son eau de Chanel.
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Depuis son retour, elle était très accaparée par son travail à l’atelier, mais n’en continuait pas moins à rêver d’un avenir qui lui ouvrait les portes du monde de la bohème.
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La création d’un parfum est comme une sorte de puzzle. Il ne faut pas hésiter à déplacer les pièces, à les agencer différemment jusqu’à ce qu’elles s’emboîtent à la perfection.
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Contrairement à ses amis, Gabrielle était une lève-tôt. Elle avait l'habitude de se mettre aux travail à sept heures, et même quand elle était en vacances, son horloge intérieure la tirait du lit de bon matin.
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INCIPIT
Un, deux, trois, quatre, cinq… Un, deux, trois, quatre, cinq…
Ses lèvres bougeaient, mais aucun son ne sortait de sa bouche. Elle comptait en silence les petites pierres du pavement. Un sol inégal et usé, piétiné depuis près de mille ans. Des cailloux de rivière y dessinaient des motifs géométriques ou des symboles religieux.
Cinq étoiles ici, cinq fleurs là-bas, un peu plus loin un pentagone. Partout ce chiffre cinq, et ce n’était pas le fruit du hasard. Elle avait appris que pour les religieux de l’ordre cistercien, le cinq avait une valeur symbolique : il représentait l’incarnation parfaite. Le nombre de pétales d’une rose est souvent un multiple de cinq, la pomme et la poire sont structurées selon cinq axes de symétrie. L’homme possède cinq sens et les prières évoquent les cinq plaies du Christ. Les religieuses ne lui avaient pas enseigné que le cinq était aussi le chiffre de l’amour et de Vénus, la somme indivisible du chiffre masculin trois et du chiffre féminin deux. Cette information, du plus haut intérêt pour une fille de quatorze ans, elle l’avait trouvée dans un livre qu’elle lisait en cachette au grenier.
La bibliothèque du monastère recelait des trésors très surprenants, souvent scandaleux, et pas destinés à tomber sous les yeux d’une gamine, comme les sermons rédigés au Moyen Âge par Bernard de Clairvaux. Il y rappelait à ses moines le rôle des substances aromatiques dans la prière et les ablutions rituelles. Le fondateur de l’ordre cistercien conseillait même à ses coreligionnaires en quête de plus de spiritualité et d’intériorité de s’imaginer les seins odorants de la Vierge Marie qu’ils célébraient dans leurs cantiques. La présence d’encens et de jasmin, de lavande et de roses sur l’autel était censée intensifier la contemplation par le biais de l’odorat.
Pour les enfants orphelins, telle la petite fille solitaire qu’elle était, les arômes extraits des plantes poussant dans le jardin du monastère demeuraient un rêve lointain, comme de se blottir contre les seins généreux d’une mère aimante. Les pensionnaires étaient régulièrement récurés au savon de Marseille dans un grand baquet d’eau afin d’être débarrassés de la saleté des travaux des champs ou de la cuisine. Il fallait juste que l’odeur de propre remplace celle de la sueur, de la peur et de la fatigue ; il n’était pas question de sentir bon. Les draps blancs et rêches qu’elle devait laver, repriser si nécessaire, plier et ranger en piles bien régulières dans la lingerie étaient traités avec plus de délicatesse que la peau des orphelins.
Un, deux, trois, quatre, cinq…
Compter l’aidait à passer le temps tandis qu’avec les autres filles alignées sur un rang elle attendait que le prêtre l’entende en confession.
Après avoir patienté interminablement comme des soldats au garde-à-vous dans la cour d’une caserne, elles entraient tour à tour dans le confessionnal. Elle supposait que si les religieuses exigeaient cette posture raide et ce silence qu’aucun enfant ne pouvait supporter très longtemps, c’était pour que les petites finissent par trouver quelque chose à avouer. Aucune d’elles n’avait généralement commis de péché depuis la confession précédente, le dimanche d’avant. Sur ce rocher venteux où l’abbaye d’Aubazine avait été édifiée au XIIe siècle, les occasions de pécher étaient rares.
Elle vivait depuis deux ans dans ce monastère isolé de Corrèze, assez loin de la route de Paris pour que les enfants n’aient pas l’idée de s’enfuir. Plus de sept cents jours s’étaient écoulés depuis que sa mère était morte et que son père l’avait fait asseoir dans une voiture à cheval pour la déposer chez les religieuses cisterciennes. Sans façon. Comme un vulgaire paquet. Après ça, il avait disparu à jamais, et pour l’âme fragile de la petite, ce fut le début de l’horreur. Dès cet instant, elle n’avait plus eu qu’un seul désir : être assez grande pour avoir le droit de quitter le monastère et mener une vie indépendante. Peut-être l’aiguille serait-elle la clé de la liberté. Une fille opiniâtre et qui savait coudre pouvait espérer aller à Paris et entrer dans une grande maison de couture. Elle l’avait entendu dire, mais au fond elle ne savait pas ce que ça signifiait vraiment.
Pourtant, ça la faisait rêver. Maison de couture : ces trois mots faisaient résonner un souvenir en elle. De belles étoffes, le froufrou de la soie peut-être, des volants parfumés, de la fine dentelle. Non pas que sa mère ait été une dame : elle était blanchisseuse et son père marchand ambulant. Il n’avait jamais vendu d’articles aussi raffinés, mais chaque fois qu’elle pensait à de belles choses, elle les associait toujours à maman. Comme elle lui manquait ! La tête lui tournait parfois, tant elle aurait aimé retrouver ce sentiment de sécurité qu’elle avait toujours ressenti auprès de sa mère.
Mais à présent, elle était livrée à elle-même, exposée à une vie rude, à une discipline de fer, aux châtiments, avec de temps en temps l’absolution divine. Tout ce qu’elle désirait, c’était un peu d’affection. Était-ce un péché qu’elle aurait dû confesser ? Ce secret pèserait-il trop lourd sur sa conscience pour que son âme trouve un jour la paix? Peut-être, se disait-elle, méditant en silence. Ou peut-être pas. Non, elle n’avouerait pas à son confesseur que l’amour était son seul but dans la vie. Pas aujourd’hui, en tout cas. Et la prochaine fois non plus, sans doute.
Elle comptait en silence les petits cailloux du pavement tandis qu’elle marchait vers l’abbatiale d’Aubazine :
Un, deux, trois, quatre, cinq…

Les phares jaunes perçaient le brouillard qui montait de la Seine et enveloppait comme une fine toile de lin blanc les frênes, les aulnes et les hêtres de la rive qui bordaient la route. On croirait un suaire, songea tout à coup Étienne Balsan.
Une image s’imposa à son esprit : celle d’un mort exposé, les membres brisés, la peau brûlée, recouvert d’un linge. Aux pieds du défunt une branche de buis, sur sa poitrine un crucifix. À côté de sa tête, une coupelle d’eau bénite pour faire oublier l’odeur de la mort. La lueur des bougies projetait des ombres fantomatiques sur le cadavre apprêté par les religieuses de façon qu’il ne choque pas trop la vue.
Étienne essaya malgré lui d’imaginer à quoi pouvait bien ressembler le beau visage défiguré de son ami. Il le connaissait presque aussi bien que le sien.
Il ne doit pas rester grand-chose des traits réguliers, des lèvres finement ourlées, ni du nez droit, se dit-il en réponse à sa propre question. Quand une automobile dévale un talus sans freiner, heurte une paroi rocheuse et prend feu, il n’y a presque rien à récupérer. Il aurait certainement fallu le talent d’un habile technicien pour restituer sa beauté au malheureux défunt.
Il sentit un filet d’eau sur sa joue. Pleuvait-il à l’intérieur de la voiture ? Il voulut actionner les essuie-glaces, mais son geste fut si fébrile que la voiture fit un écart. Il freina trop fort, de la boue gicla contre la vitre latérale. Le caoutchouc des essuie-glaces grinçait sur le pare-brise. Il ne pleuvait pas. C’étaient ses larmes. Une vague de lassitude et de chagrin s’abattit sur lui, menaçant de le submerger. S’il ne voulait pas finir comme son ami, il avait intérêt à se concentrer sur sa conduite.
La voiture s’était mise en travers de la chaussée. Étienne s’obligea à respirer calmement, arrêta les essuie-glaces, se cramponna des deux mains au volant. Le moteur hurla quand il appuya sur l’accélérateur, les roues tournèrent dans le vide. Après quelques à-coups, la voiture se remit en piste. Son cœur retrouva son rythme normal. Après minuit, il ne venait heureusement aucun véhicule en sens inverse.
Il se força à garder les yeux braqués sur la route. Pourvu qu’aucun animal sauvage ne traverse. Il n’avait pas envie d’écraser un renard, la chasse à courre correspondait davantage à ses goûts. Son ami était pareil, l’amour des chevaux les unissait. Arthur Capel, l’éternel adolescent qui n’avait jamais pu se débarrasser de son surnom d’enfant, « Boy », était – ou plutôt avait été – un fantastique joueur de polo. Boy était un bon vivant, à la fois intellectuel et charmeur, gentleman jusqu’au bout des ongles, un diplomate britannique promu au rang de capitaine pendant la guerre, un type que chacun se plaisait à appeler son camarade. Étienne pouvait s’estimer heureux d’être l’un de ses plus anciens et de ses meilleurs amis. Enfin, d’avoir été…
Une larme roula de nouveau sur sa joue tannée par le soleil, mais Étienne ne lâcha pas le volant pour l’essuyer. S’il voulait arriver entier à Saint-Cucufa, il ne devait plus se laisser distraire par ses pensées. Ce voyage était le dernier service qu’il pouvait rendre à son ami disparu. Il devait apporter la terrible nouvelle à Coco avant qu’elle ne l’apprenne le lendemain par les journaux ou par le coup de téléphone de quelque commère. Ce n’était vraiment pas une mission plaisante, mais il l’accomplirait avec tout son cœur.
Coco était – avait été – le grand amour de Boy. Cela ne faisait aucun doute. Pour personne, et surtout pas pour Étienne. C’est lui qui les avait présentés, un été, dans sa propriété. Boy était venu à Royallieu à cause des chevaux, et il était reparti avec Coco. Pourtant, elle était l’amie d’Étienne. Enfin, pas à proprement parler son amie, à l’époque. C’était une fille qui chantait des chansons équivoques sur la scène d’un beuglant de Moulins, une ville de garnison, et qui passait ses journées à repriser les pantalons des officiers avec lesquels elle batifolait la nuit. Douce, un peu garçonne, ravissante, heureuse de vivre, vulnérable et en même temps incroyablement vaillante et énergique. Le contraire exact de la grande dame* à qui tant de jeunes femmes de la Belle Époque rêvaient de ressembler.
Étienne s’était amusé avec elle et l’avait accueillie quand il l’avait trouvée à l’improviste devant sa porte, mais il n’avait rien changé à ses habitudes. Au début, il ne voulait même pas l’avoir à ses côtés, mais elle, têtue, était restée
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Notre devoir est de survivre, se dit-elle. C’est notre amour qui permet aux morts de rester vivants dans nos mémoires.
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Les livres ont toujours su me tenir compagnie dans mes plus grands moments de solitude.
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La jeune actrice était perfectionniste et paniquait à l’idée de mal faire. Manquant parfois de confiance en elle, elle appréciait d’autant plus les compliments. Le tohu-bohu fut bientôt recouvert par un éclat de rire retentissant. Alain Delon, toujours à côté de Romy, se tordait de rire et Jean-Claude Brialy riait aussi à gorge déployée, tout en se rapprochant.
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Pour elle, une histoire d’amour jouée par deux acteurs principaux qui se détestaient ne pouvait qu’être vouée à l’échec. Elle restait convaincue qu’Alain Delon n’avait aucun talent et ne comprenait toujours pas ce que sa mère lui avait trouvé. Elle avait dû se laisser convaincre par le producteur et le réalisateur du film de l’engager pour ce film.
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Elle voulait devenir une vraie actrice, comme Lilli Palmer, ou bien Maria Schell, ou peut-être aussi comme sa maman, et s’éloigner de ces rôles qui lui ressemblaient tant. En apparence, car elle n’a jamais été cette jeune fille de Vienne docile, même enfant. Elle aurait aimé tester ses limites, déroger aux règles. Mais elle n’avait jamais osé.
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Apparemment je joue la jeune fille que les autres filles de mon âge aimeraient être, ou bien celle que leurs parents aimeraient qu’elles soient. Mais à mon âge, tout n’est pas toujours si rose ! Les adolescentes ont aussi des problèmes, beaucoup même et compliqués…
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Elle avait une mémoire photographique et une intelligence vive. Dès la première lecture, elle retenait les dialogues. Elle se laissait ensuite du temps pour réfléchir aux particularités de chaque scène, à la manière de les porter à l’écran. Marcher l’aidait dans cette recherche et dans la construction de son personnage. Sur la plage d’Ibiza, elle avançait dans ce sable fin, sous la lumière mate du soleil qui descendait sur la baie d’un bleu saphir. Elle ne voyait plus la mer, elle imaginait le lac dont il était question dans Christine.
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Magda venait de toucher un point sensible que Romy préférait tenir le plus éloigné possible. Jusqu’à présent, elle avait été chouchoutée par les journalistes, recevant toutes les faveurs de la presse. Elle était cette jeune et jolie fille, innocente, bien éduquée, toujours souriante, au bon cœur, généreuse. Puis le vent de cette sympathie avait soudainement tourné. Dès que la rumeur s’ébruita que « Sissi, le destin d’une reine » marquerait la fin de la biographie amère et kitsch de l’impératrice Élisabeth d’Autriche-Hongrie, Romy fut aussitôt attaquée dans les médias. On lui reprocha son manque de reconnaissance envers les spectateurs, on commença à douter de son talent d’actrice. On lui reprochait de vouloir expressément décevoir ses fans.
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Romy avait l’impression d’être un chien parfaitement dressé, obéissant aux ordres, un vrai petit soldat. Alain lui servit une coupe et Romy décida de profiter au mieux du spectacle. Les lumières se tamisèrent davantage, et dans la pénombre de la salle, cachée aux yeux de tous, Romy appuya sa tête sur la banquette, souffla et essaya de se laisser un peu aller. Être en permanence observée, critiquée, jugée, était une épreuve. Se tenir droite comme un I, penser à sa tenue, à sa coupe de cheveux, à son maquillage, à sourire, à bien manger (mais pas trop).
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Romy n’avait jamais ressenti cela auparavant. La musique lui parcourait tout le corps, électrisait ses jambes, des pieds jusqu’à la tête. Une toute nouvelle sensation, une joie de vivre qu’elle n’avait jamais ressentie. Se laisser transporter sur la piste de danse par Hotte, tourbillonner, était extrêmement libérateur.
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Pour ces jeunes acteurs qui, chacun à leur façon, étaient devenus les stars préférées de la jeune Allemande, c’était le cadre parfait pour une conférence de presse, même si l’horaire n’était pas idéal. Romy se sentait humiliée, traitée comme une petite fille qui n’appartenait pas encore au monde des adultes ; elle se soumit pourtant aux ordres de celui qui était à la fois le mari de sa mère et son manager – et en sera félicitée pour sa patience.
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