Quand Chloé, mon amie, avait eu besoin de creuser ses sols pour retrouver un peu d’assurance, il y avait eu la forêt dénuée de préjugés pour l’accueillir.
Quand j’avais voulu crier les barrières érigées autour de mon cœur, qui avaient empêché l’homme que j’aimais de coller à moi, il y avait eu la lac pour adoucir ma voix.