La vie était trop courte. Le temps, une denrée trop précieuse. Son envie, trop puissante. Tout lui semblait évident. Il se blottit contre elle dans la pénombre après avoir parlé, se demandant, au vu du silence, si elle était toujours éveillée, puis si ce n’était pas lui qui dormait, jusqu’à ce que Cherilyn prenne la parole, et lui demande de l’embrasser une dernière fois avec sa moustache. Puis elle murmura que s’il pensait que ça pouvait l’aider à jouer du trombone, elle lui raserait elle-même la balayette.