Il y avait toujours une lueur d'espoir dans la vie, et même si elle était très mince, il fallait s'y accrocher et continuer à se battre. Si vous baissez les bras, alors vous êtes sûr de ne jamais rencontrez le bonheur.
Vivre aux côtés d'Atticus, c'est comme côtoyer un lion qui a faim. On doit être sur ses gardes à chaque instant parce qu'il a le pouvoir de détruire tout ce qui nous est cher d'un simple claquement de doigts.
- Ne dis pas ça, nous n'en savons rien tant qu'on ne l'a pas retrouvée, mais tu as déconné à plein tube, Atticus. Qu'est-ce qui t'a pris de te montrer si violent avec elle ?
- Le vampire le plus puissant du monde se meurt d'amour pour vous. Lui qui a toutes les femmes à ses pieds. Il n'a pas l'habitude qu'on le rejette. Il est peut-être tout-puissant, cela ne l'empêche pas d'être nul pour les histoires d'amour. Mais il tient vraiment à vous, ça j'en suis sûr.
Malgré le temps qui passe, on oublie jamais son premier amour Et Les souvenirs qu'il nous laisse.
Il y avait toujours une lueur d’espoir dans la vie, et même si elle était très mince, il fallait s’y accrocher et continuer à se battre. Si vous baissez les bras, alors vous êtes sûr de ne jamais rencontrer le bonheur.
Il y avait toujours une lueur d’espoir dans la vie, et même si elle était très mince, il fallait s’y accrocher et continuer à se battre. Si vous baissez les bras, alors vous êtes sûr de ne jamais rencontrer le bonheur.
Si c’était Atticus qui l’avait tenue dans ses bras, elle se débattrait de toutes ses forces parce que la seule idée du contact de ce montre lui donnait la chair de poule. Mais c’était différent avec ce vampire aux cheveux bouclés. Pour des raisons qui lui échappaient, elle ne dédaignait pas sa compagnie. Au contraire, elle la trouvait singulièrement réconfortante et elle se sentait en sécurité.
Si c’était Atticus qui l’avait tenue dans ses bras, elle se débattrait de toutes ses forces parce que la seule idée du contact de ce montre lui donnait la chair de poule. Mais c’était différent avec ce vampire aux cheveux bouclés. Pour des raisons qui lui échappaient, elle ne dédaignait pas sa compagnie. Au contraire, elle la trouvait singulièrement réconfortante et elle se sentait en sécurité.
Il n’aimait pas que les jeunes filles soient contrariées, et a fortiori lorsque c’était Evelyn. C’était peut-être dû au fait qu’il lui avait sauvé la vie, mais il ressentait un besoin étrange de la protéger. Elle plus que quiconque.
Arrête de pleurer. Arrête de pleurer, Evelyn, tu ne peux pas pleurer à chaque fois que tu rencontres un problème. Ce n’est pas une solution. Si tu pleures c’est de l’apitoiement, tu dois être forte. C’est la seule façon de t’en sortir.
Mais c’était plus facile à dire qu’à faire. Le fait qu’Evelyn veuille être forte ne voulait pas nécessairement dire qu’elle le pouvait. Contre sa volonté, les larmes se mirent à couler de ses yeux rougis sur ses joues à la peau boursoufflée.
Ne pleure pas, ne pleure pas, se répétait-elle, en vain. Les larmes continuaient à couler.
Un gémissement brisé s’échappa de ses lèvres. La réalité de sa situation l’avait frappée de plein fouet. Elle avait cru toucher le fond auparavant, mais elle se trompait. C’était maintenant qu’elle touchait le fond. Plus de famille. Plus d’Ethan. Plus de liberté. Plus rien.