- Tu n’es ni horrible, ni fracassé, ni tordu. (Il rit d’un rire amer et secoue la tête.) Je ne veux pas te perdre, j’ajoute en mobilisant le peu de courage qu’il me reste.
Il met sa main sur la mienne, ferme les yeux. Il semble être au supplice. Ses doigts caressent doucement le dos de ma main, qui frissonne.
- On ne peut pas perdre une chose qui ne nous appartient pas, Ruby.