Le cerveau et le corps ont tous les deux leurs propres moyens de survie. Ils font barrage à l’horreur pour continuer.
C’est frustrant, parfois. Mon cerveau est comme la lettre d’adieu : il est plié, corné, au point qu’on en distingue encore à peine les mots, et déchiré en mille morceaux maintenant.
Néanmoins, il en subsiste des fragments.