‘Aida, how many stories are there in one book?’ Dina asked one day as the two girls sat reading in the bookshop.
Aida fingered the large picture book that lay open on her knees, its weight her comfort, and shrugged her shoulders. ‘As many as we like, Dina,’ she said after a pause. ‘Just as many as we like.’ (p. 90, Partie II).
Tentative de traduction : « Aida, combien y a-t-il d’histoires dans un seul livre ? demanda Dina un jour que les deux filles étaient assises à lire dans la librairie.
Aida passa sa main sur le grand live d’images ouvert sur ses genoux, dont le poids la réconfortait et elle frissonna. “Autant que l’on veut, Dina, répondit-elle au bout d’un moment. Exactement autant que l’on veut.” »
The cities of the West became her refuge. She walked their streets with confidence, slipping myriad cultures into her pockets and learning how to smile in several languages. She was faceless one moment and shining the next, and in her manner no secrets were revealed. (p. 77, Partie II).
Tentative de traduction : « Les villes occidentales devinrent son refuge. Elle arpentait leurs rues avec confiance, une multitude de cultures s’entrechoquant dans ses poches and apprenant à sourire dans plusieurs langues. Elle était sans visage par moment et brillante le suivant, et son attitude ne dévoilait aucun secret. »
‘You laughed at me’, she told the ghost lingering beside her.
‘You invited laughter.’
‘Was it because I was a joke to you?’
‘No. It was because you were a joy.’(p. 82-83, Partie II).
Tentative de traduction :
« - Tu as ri de moi, dit-elle au fantôme qui se penchait sur elle.
- Tu invitais le rire.
- N’étais-je donc qu’une plaisanterie pour toi ?
- Non. Tu étais une joie. »