Dans ces moments-là, I'activité cérébrale de Daisuké lui permettait seulement de donner naissance à des fantasmagories évanescentes, telles des chauves-souris qui affolaient les ténèbres. Tandis qu'il poursuivit les reflets lumineux de leurs battements d'ailes, il avait l'impression que c'était comme si sa tête s'était soulevée du sol, qu'elle était pour ainsi dire flottante. Puis, sans qu'il en eût conscience, il s'assoupit légèrement.