Là encore, notre école avait tout d’une caserne. Nous prêtions serment tous les matins. La formule commençait par « je suis turc, je suis juste, je suis travailleur » et se terminait par « je fais don de ma vie à la Turquie » ! Et sur la colline dénudée qui dominait la caserne, on pouvait lire ces mots attestant notre attachement à Atatürk : « Quel bonheur de pouvoir se dire Turc ! »