Elle ne comprenait pas pourquoi les gens avaient besoin d’écrire comme s’ils devaient entortiller les faits dans du barbelé. Elle avait tenté de lire l’essai qu’avait rédigé Frieda Klein sur le concept de personnalité, mais avait complètement bloqué sur la première page où il était question de pronoms, même si elle appréciait la citation de George Eliot : « Il n’est jamais trop tard pour devenir celui que nous aurions pu être. »