L’ordinaire n’a pas de voix. Qui écoute-t-on ? Le type qui revient du monde en pédalo ou le plombier après une journée de travail ? Le héros, c’est le spectacle, c’est tout. Et pourtant, lequel a le plus œuvré ? Et pourtant, Dieu sait que tout ce manège, ce défilé permanent, cette plaisanterie trop longue, cette fête sans fin, ce divertissement grotesque… Tout ça n’a aucun intérêt.