Une part d'insouciance s'est éteinte dans mon esprit. L'image du chasseur indomptable a laissé la place à celle, terrible, d'Ole, l'employé de bureau enfermé. Comment se fait-il que ce soit moi, le "touriste", qui soit parti à la chasse ce matin ? Est-ce cela l'avenir ? Des Occidentaux qui viennent jouer aux chasseurs une partie de l'année pendant que les Groenlandais se tournent vers les versants les plus insipides de notre existence ?