Bien entendu, une foule immense les attendrait sur le quai car la presse avait annoncé de manière circonstanciée le voyage de l’empereur à Venise. Mon Dieu, pensa Sissi, comme elle haïssait cette curiosité malsaine ! Surtout quand les gens avaient le toupet de les dévisager à l’aide de jumelles et de lorgnettes.