Le jardin multiplie les stimulations sensorielles, notamment visuelles, tactiles et olfactives.
Les concepts ne sont pas empilés dans le cerveau comme dans une bibliothèque ; ils sont activés par les expériences qui nous permis de les construire. Ainsi, boire rassemble le verre que l'on voit, que l'on touche, le liquide que l'on entend couler dans le verre, la fraîcheur que l'on ressent ou le sentiment de se désaltérer. Les concepts se sont bâtis comme les fils de la toile d'araignée qui convergent vers le centre ; certains fils peuvent être cassés ou distendus par la maladie, mais d'autres sont peut-être intacts et leur activation peut faite vibrer toute la toile, et c'est ainsi que l'on peut aider la personne à comprendre.
La communication est renforcée par des composantes émotionnelles de la communication verbale que l'on appelle la prosodie, mais aussi par des composantes non verbales comme la posture corporelle, les mouvements de corps, l'expression faciale, le regard.
Être acteur du monde, c'est compter pour quelqu'un, pour quelques-uns.
Nous devions d'abord contrôler nos propres angoisses si nous voulions éviter de contrôler les autres.
Profiter des talents musicaux d'un aide-soignant pour animer des après-midis de chant pour les personnes.
Pour créer un environnement sécurisé et sécurisant, et permettant d'y vivre en liberté, il importe de bien comprendre les difficultés et les capacités de chaque personne. Cela exige de connaître la personnalité, l'histoire et le type d'atteinte de chacune.
Il est possible que des situations nous perturbent parce que nous ne les comprenons pas, ce qui nous amène à les décrire ainsi.