C'était l'heure où les réverbères s'allumaient. Les hommes prenaient leur apéritif, les femmes rentraient chez elles, l'air sentait la poudre, le savon de toilette, les souvlakia, l'anisette. Je me disais : "Dis donc, mon vieux Zorba, jusqu'à quand tu vas vivre et palpiter des narines ? Il ne te reste plus beaucoup de temps pour humer l'air, mon pauvre vieux, vas-y, aspire à fond !"