A Study in Seduction by Nina Rowan
Une voix d'homme pouvait être très séduisante, surtout quand, caressante, elle laissait entrevoir mille promesses de plaisir.
Elle regarda toutes ses notes sur Roméo et Juliette, sur Tristan et Yseult, sur Lancelot et Guenièvre, sur Hélène et Pâris, sur Pétrarque et Laure. Ses équations n’avaient jamais pu dégager l’élément commun à toutes ces relations, à savoir que toutes se soldaient par un échec. En dépit de la violence
de leur passion, de leurs sentiments, de leur désir, aucun de ces couples n’avait mené une vie heureuse, épanouie.
Son frère avait besoin d'une femme comme elle, il le savait. Alexander et Lydia avaient évité ensemble le scandale qu'avait provoquer leur liaison. Ils partageaient à présent un bonheur éclatant, preuve de la force de leur union.
— Et je vise beaucoup plus haut pour mon propre mariage. — Vraiment, mon chou ?
— Oui, affirma-t-elle en enroulant les franges de son châle. C’est mon propre choix qui compte.
— Certes, approuva James en tendant de nouveau la main vers l’assiette de gâteaux.
De grâce ! Si elle avait été une tartelette, il se serait mis à genoux pour lui déclarer son amour inconditionnel.
— Quand deux personnes partagent les mêmes souvenirs, le passé n’est pas si loin, Talia.
Si l’ équation différentielle linéaire devait représenter les émotions de deux amants elle serait gouvernée par les variables assignées à chaque amant :
a = Ar + bJ et J = cR + dJ.
Toute matrice carrée est racine de son propre polynôme caractéristique.
Si l’ équation différentielle linéaire devait représenter les émotions de deux amants elle serait gouvernée par les variables assignées à chaque amant :
a = Ar + bJ et J = cR + dJ.
Embrase-moi,
Embrase-moi et bannis mes peurs.
Verrouille ton coeur, de crainte de lui donner le pouvoir de le briser.