AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet

Citation de collectifpolar


Les chiens sentaient que mon père ne pouvait pas les blairer. Ils aboyaient de bon cœur à chacun de ses passages, les plus gros ou courageux bondissaient même sur le portail, prêts à lui sauter dessus à la moindre occasion. Les autres, plus petits ou plus trouillards, se contentaient d’aboyer depuis le perron de la maison. Je n’ai jamais compris d’où lui venait cette aversion pour l’espèce canine. Peut-être s’était-il fait mordre lorsqu’il était jeune ? Ou bien était-ce parce qu’il savait que j’adorais les chiens ? Ou encore, plus simplement, parce qu’il adorait haïr tout ce qui respirait ?
Commenter  J’apprécie          00









{* *}