Je me souviens de mon premier journal intime, une amie de ma mère me l’avait rapporté du Japon, il avait des dessins super mignons sur la couverture, des petits crocodiles qui se baignaient et qui mangeaient des glaces, je me souviens même de sa matière, une sorte de plastique matelassé qu’on a immédiatement envie de sentir. Ça sentait d’ailleurs hyper bon. Une odeur de plastique chimique que les moins de 30 ans ne peuvent pas aimer […].