TAM-TAM : Belle rencontre avec Olivier Bonfond
Il y a trois sortes de violence.
La première, mère de toutes les autres, est la violence sociale et institutionnelle, celle qui légalise et perpétue les dominations, les oppression et les exploitations, celle qui écrase et laminé des millions d'hommes et de femmes dans les rouages silencieux et bien huilés.
La seconde est la violence révolutionnaire, qui naît de la volonté d'abolir la première.
La troisième est la violence répressive, qui a pour objet d'étouffer la seconde en se faisant l'auxiliaire et la complice de la première violence, celle qui engendre toutes les autres
Il n'y a pire hypocrisie de n'appeler violence que la seconde, en feignant d'oublier la première, qui la fait naître, et le troisième qui la tue.
Dom Hélder Câmara (p 78)
Sur une planète où toutes les cinq secondes un enfant de moins de dix ans meurt de faim, détourner des terres vivrières et brûler de la nourriture en guise de carburant constituent un crime contre l'humanité.
Jean ziegler (p290)
Cette citation (datant de 2011) fait suite à la production d'hydrocarbures industriels qui a ôter de nombreuses terres cultivables (cela m'indigne).
Proposer un outil permettant aux militants sociaux, mais aussi à toute personne qui se pose des questions sur le monde qui l’entoure, de construire un argumentaire solide et efficace en faveur d’un changement progressiste et d’inviter à l’action collective. Le contenu de ce livre se veut donc simple et accessible, tout en restant le plus concret et le plus rigoureux possible.
Aider les personnes, en particulier la jeunesse, à rompre avec le fatalisme en montrant que de nombreuses alternatives crédibles à la mondialisation capitaliste existent.
la satisfaction universelle des droits humains fondamentaux, le respect de l’environnement et la construction d’une véritable démocratie
Participer au renforcement de la convergence des luttes en articulant différentes thématiques dans une analyse globale.