Parmi les postes que j'ai occupés, c'est celui du jambon de Parme que j'ai préféré. Au début, je ne faisais que des remplacements quand il manquait du monde. Grâce à Daniel Jézégou, j'ai accédé au groupe des découpeurs. C'est un tapis extrêmement physique, extrêmement technique. Pour résumer, sur les 1 000 salariés qu'il y avait chez Gad, il n'y avait guère que trente qui pouvaient tenir ce poste.