Cette proximité des Bretons avec le monde du trafic et des speakeasies est toute naturelle:cuisines et salles de restaurant sont le lieu de travail privilégié des Bretons de New-York et ce monde doit bien s'accommoder des entorses à la loi.Les Bretons s'en accommodent d'autant mieux que l'activité est lucrative et ne choque pas leur esprit mercenaire.
La règle est de s'assurer que les tenanciers n'achètent leur boissons qu'à eux et ne montent pas trop les prix.Dans les quartiers de Chicago, c'est encore pire:les patrons de speakeasies doivent non seulement acheter l'alcool de Capone, mais aussi ses bretzels, son linge et ses torchons et les faire laver aux laveries Capone.