Olivier Ledroit

Les derniers tomes de Requiem Chevalier Vampire étaient assez lents. Ici, Patt Mills et Olivier Ledroit nous scotchent à nouveau. Les dessins et les couleurs sont toujours aussi sublimes et servent à merveille un scénario bien touffu.



L'histoire est à nouveau rythmée. Les choses bougent sur Résurrection. Des alliances se forment. De nouveaux personnages apparaissent. Bref, il y a du renouveau. Ce tome donne la part belle à l'action, à la stratégie et au sexe. C'est rock n'roll baby !



Bref, les fans seront conquis et comme moi, ils espéreront que le tome 10 ne mettra pas trop longtemps à sortir. Mais après tout, s'il faut du temps pour avoir une qualité pareille, je suis bien prête à attendre.
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[chronique pour les tomes 1-14)



Le genre de série à lire d'une traite le temps d'un week-end. De la fantasy noire pour adulte.

C'est simple, un héros anti-héros, un grand méchant très méchant, une multitude de compagnon et de méchant plus ou moins méchant.

Au menu:

Tous les codes de la Fantasy bien noire et lugubre, la présence du bestiaire entier également, un humour grivois qui sent bon l'auberge médiéval,

un dessin accueillant, coloré, surtout d'hémoglobine, et agréable qui s'affine et gagne en précision au fil des tomes.

Une série que ne casse pas trois pattes à un canard mais qui fait le taf. Et de fort belle manière.

Un artbook érotique où les formes des femmes sont sublimées. Tantôt vamps, tantôt sensuelles, ici, dominatrices, là fragiles.

Nues, en cuir ou en dentelles, les belles de nuit d'Olivier Ledroit donnent dans l'érotisme chic et esthétique. Plaisir des yeux et de l'inspiration, selon les goûts de chacun ...

Il manquera tout de même selon moi à cette galerie un peu de texte et de propos général...

Mais le plaisir des yeux suffira sans doute à certains. Ne boudons pas le plaisir, quel qu'en soit sa forme...

Facilement attirée par les somptueuses illustrations d'Olivier LEDROIT j'ai succombé à l'appel de l'initiation mystique et ésotérique annoncée pour cet album. Je m'y plongée avec enthousiasme pour en ressortir plus que refroidie.



Graphiquement, on est vraiment sur quelque chose d'immersif et de splendide en termes de travail des couleurs, les pages pleine et grandes cases de décors sont plus qu'abouties. Paris s'éveille magnifiquement sous les doigts de LEDROIT, les paysages nocturnes, et d'autant plus ceux peuplés de ce que le commun des mortels ne voit pas après l'éveil de Mickaël, sont incroyables. Les personnages quant à eux ont des expressions trop figées à mon goût mais ne gâchent pas pour autant le plaisir visuel.



Pour ce qui est de l'écriture c'est autre chose. La proposition de base est intéressante mais la narration va perdre en dynamisme en virant rapidement au déroulé des pensées de Mickaël (et autant vous prévenir, ça ne se calme pas dans le second tome).



Après son éveil on a le droit à son analyse personnelles de ce nouvel environnement qui se révèle à lui. Là où les images se suffisent à elles-mêmes pour nous y plonger, ses monologues imbuvables nous en sortent complètement. Non, utiliser des termes et du vocabulaire pointu de para-sciences et de cosmologie ne rend pas le tout plus profond ou crédible mais simplement pseudo-élitiste et rédhibitoire. Je lis beaucoup, de tout, et je me quand même retrouvée à chercher des définitions plus de 3 fois en un seul album, pour des phrases si alambiquées et des termes si imbuvables que je ne peux même pas considérer que ça a eu le mérite d'enrichir mon vocabulaire puisque je n'en ai rien retenu.



Cette plume s'accorde ceci dit parfaitement avec le fond qui se veut mystique et ésotérique mais présenté comme factuel, voire scientifique. Le côté très "tout est lié" sur la Voie Royale et l'architecture mondiale nous fait passer d'un univers qui se superpose à celui de nos perceptions communes à une organisation relevant quasiment du complot qui finit par être plus risible que fascinante dans la façon dont elle nous est livrée.



J'ai emprunté le second tome en même temps que celui-ci et je vais donc poursuivre ma lecture pour affiner mon avis, qui est peut être trop hâtif pour une critique modérée et juste de l'œuvre dans ensemble, mais je suis clairement beaucoup moins enthousiaste qu'à l'ouverture de l'album.

Wika



C'est dans un décors très fourni que nous suivons l'histoire d'une jeune fille, Wika.

Par le passé, sa vie changea brusquement lorsqu'elle fut arrachée à ses parents pour sa propre sécurité.

Nous la retrouvons adulte.

Désormais elle devra faire de nouveaux face à de puissants ennemis, ceux qui lui ont tout pris auparavant.

c'est ainsi que débute la lecture...



L'histoire déjà originale, se verra sublimé par une qualité graphique et artistique.

Si vous êtes adepte de fantaisie, cet ouvrage saura vous ravir. Encore mieux ! On retrouve la patte graphique d'autres œuvres tel que Requiem mais dans des tons encore plus colorés !

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Un gros potentiel.

L'histoire, le monde, les personnages (dont on espère qu'ils seront développés) sont prenants. Les graphismes sont vraiment magnifiques, une pépite visuelle. En revanche, les dialogues sonnent creux, ce n'est clairement pas la même personne qui a dessiné les boîtes descriptives et ajouté les autres, dont l'incrustation rappelle douloureusement Paint, assortie d'une police ôtant toute crédibilité à l'ensemble.

Je relis ces anciennes chroniques (30 ans déjà) et la lune noire ne m'émeut pas. Le dessin est un peu brouillon et les forces déchainées un peu trop obscures.

Aussi outrancier que tous les tomes précédents, celui-ci nous offre aussi des vampires samouraïs totallement inespérés, ainsi qu'une infâme liche. Mais aussi du sexe, bien sûr, et des transitions tout aussi merdiques que dans les 8 précédents tomes. Parce que franchement, la trame narrative, ici, est aussi consistante que le suaire d'un cadavre vieux de trente siècles.

9782914420235"

Une jolie bd sur les fées, j'aime beaucoup les dessins et l'univers est bien imaginé !

Synopsis de la série : 



"Attention, la lecture de ces "chroniques" pourrait vous emmener dans des univers terrifiants. Vous pourriez croiser sur votre route des personnages inquiétants comme Wismerhill ou Haazheel Thorn et pénétrer dans les arcanes du tout-puissant Empire. Et d'ailleurs qui est vraiment le Maître de la Lune Noire sinon le Malin lui-même ?"



Vous l'aurez deviné votre serviteur ne fera pas une #chronicle sur chaque tome car ça serait trop long, fastidieux et indigeste, mais j'essayerais de vous donner l'envie de découvrir cette #BD fondatrice de la mouvance "Héroïc-Fantasy" qui compte déjà 18 tomes et bientôt 19.



"Les Chronicles de la Lune Noire" est l'une (si ce n'est la) de mes BD préférée car c'est l'une des premières que j'ai lu, en plus des classiques tels que Astérix, Lucky Luke, les Schtroumpfs, lorsque j'ai commencé à parcourir ce vaste monde de la lecture. Elle s'est imposée à moi car elle incarne à la perfection un style dont je suis fan : l'#Héroïcfantasy et je dirais même la #DarkFantasy, dans ce cas précis. Vous me direz la quoi ?..."Dark Fantasy"...Quésako? Bah pour faire simple, c'est de l'héroïc-Fantasy sombre, violente où les héros doivent combattre des forces qui les dépassent et doivent résister à leurs penchants démoniaques. Tout ça saupoudré de magie, de belles succubes et d'un soupesons de dragon. Une bonne recette pour passer un agréablement moment, n'est ce pas ?



Retrouvons donc au fil de ces 18 et bientôt 19 tomes, les aventures de Wismerhill, Pile ou Face et Ccie prient entre deux feux : la lutte entre le bien et le mal, entre Dieu et le Diable, les Anges contre les Démons. Ces deux joyeux lurons vont se trouver au détour d'un chemin pour ne plus se quitter et vont vivre d'intenses événements plus ou moins plaisant jusqu'à l'affrontement final avec les forces obscures. Un beau bordel mais plein de joie, de gaieté, de fesses et de combats plus bourrins les uns que les autres. De quoi vous contenter mes chers amis, croyez-moi...D'autant plus, que nos héros vont gagner des points d'expérience, un peu comme dans Diablo ou comme dans Dragon Ball Z, ce qui va leur permettre de gagner en puissance et en dextérité afin d'affronter des ennemis toujours plus puissants.



Pour conclure, cette série est tout simplement mythique et incarne à elle seule le renouveau qu'il y a eu à la fin des années 90 dans le milieu de l'Héroïc-Fantasy. C'est, pour votre serviteur, un #MustHave qu'il faut avoir lu, possédé et naturellement acheté. Les BD piratées c'est tabou on en viendra tous à bout. Oui je sais, ça va pas bien...mais c'est parce que j'aime cette BD. Je l'aime tellement que j'en ai oublié de parler du scénario, fait par Monsieur Froideval, qui est tout simplement une pure merveille!! Alors certain diront que les derniers tomes ne sont plus aussi bons qu'avant et je leur répondrais oui malheureusement. Il faudrait peut-être que la série s'arrête au bout d'un moment. Nous retrouvons également la plume de Ledroit (papa de Requiem), de Pontet et enfin d'Angleraud. Oui c'est le troisième dessinateur qui travaille sur la série mais certains ouï-dire disent que Froideval aurait mauvais caractère mais bon ceci ne nous regarde pas...



Note : 18/20.



Je n'ai pas mis 20/20, car comme je l'ai précisé j'ai trouvé que les 2/3 derniers tomes n'étaient plus à la hauteur de ceux d'avant et que malheureusement je sens que cette série s'achèvera au tome 19 ou au maximum au tome 20 (pour faire un compte rond). D'autant plus que l'histoire est bientôt finie.



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See you soon sur les ondes...
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Dans ce quatrième opus, Wismerhill recrute par la force une armée, mais la Lune Noire semble mener la danse et joue comme elle jouerait aux échecs. L’épisode est un peu plus violent, laissant la place à plus de combats, mais il reste encore assez compliqué de comprendre qui fait quoi encore. C’est un peu brouillon. Heureusement que le graphisme tend à s’améliorer et il nous est proposé quelques belles pages. Un album encore un peu nébuleux mais qui laisse paraître un avenir plus radieux.
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J'étais assez impatiente de découvrir la suite de cette histoire, mais j'ai laissé couler deux mois avant de m'y replonger, sachant que le troisième tome n'allait pas sortir de suite.



Nous retrouvons Wika entourée des fées noires, qui veulent l'aider à vaincre Obéron contre l'allégeance de la jeune femme... Cette dernière est donc formée à la magie par les trois fées, et se débrouille très bien, prête à tout pour se venger. Elle apprend à maîtriser ces dons, tandis que le tyran et la dame blanche complotent...



L'univers est toujours aussi dense, et je ne me suis pas ennuyée à un seul moment. J'ai trouvé cette suite moins bonne, probablement parce qu'il n'y avait pas la magie de la découverte... Malgré ça, il y en a, de la magie !



Les illustrations d'Olivier Ledroit sont toujours composées d'une infinité de détails, si bien que je pourrais passer un temps fou à les admirer. L'univers qui été créé est très riche et recherché, et cette lecture était vraiment chouette !
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Un univers extrêmement riche, des personnages charismatiques, un scénario accrocheur et qui coule de source et surtout des illustrations magnifiques sur lesquelles on pourraient rester des heures pour les contempler, bref, il faut absolument lire cette bande-dessinée qui est encore une fois, avec ce second tome, une véritable merveille!


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J'ai passé une heure, voire plus pour lire, regarder et savourer les deux tomes qui se lisent avec enchantement et délice. Les deux tomes se suivent, ils sont très différents et j'ai vraiment hâte de pouvoir lire le prochain qui s'annonce passionnant !

Le deuxième tome a été acheté directement à sa sortie, il m'était impossible de passer à côté et il est à la hauteur du premier. Durant son épopée, Wika va se faire des fées noires de redoutables alliées qui vont lui enseigner la magie, j'ai adoré la phase d'apprentissage. C'était passionnant de voir la magie, le combat, de voir Wika en apprendre plus sur son héritage et sa famille. Pareil, on a de très chouettes incursions chez les méchants, comme Obéron et ses enfants, ces derniers sont aussi fascinants qu'effrayants. A part Rage qui reste mystérieux et intéressant, notamment dans sa relation avec son demi-frère Hamelin.

Le texte est de bonne qualité, violent, soigné et tranché. Tout est à sa place, les mots sont toujours bien employés, l'humour est présent, le cynisme aussi, le côté crû à quelques moments ne m'a pas dérangé outre mesure. D'ordinaire, je râle toujours pour ce que je prends parfois pour de la facilité, cependant ici, le texte participe à l'ambiance, à la fois douce et amère. Quant aux illustrations, je pourrais en parler durant des heures, l'architecture est juste une pure merveille, je suis très fan du rendu d'Avalon. Les objets et les décors sont soignés, chaque lieu à son atmosphère, j'apprécie la texture donnée aux ailes des fées, à la baguette de Titania.

L'univers se voit étoffer avec le second opus avec les Fées noires et leur histoire, avec le royaume dans lequel Wika va se rendre, avec cet enseignement qu'elle reçoit. C'est riche et prenant de voir toute cette mythologie prendre forme et être cohérente.

Un gros coup de foudre pour Wika et je suis impatiente de découvrir la suite vu le final de très haute qualité !
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Attention, nous allons parler ici du chef d'oeuvre absolu d'Olivier Ledroit, sorte d'anomalie dans sa création, qu'il n'atteindra sans doute plus jamais.

Xoco est une histoire prévue en deux volumes et prolongée de façon assez dispensable sur deux autres volumes avec un autre dessinateur.



Dans les années 30 un tueur en série parcourt la cité avec un couteau sacrificiel indien. Pendant que la police mène l'enquête, des indiens se lancent à la recherche d'un démon lié à ces meurtres.

Les deux albums dessinés par Ledroit sont du pur Lovecraft. L'ambiance créée par le dessin et le découpage inoui d'Olivier Ledroit vous plonge dans un monde sombre, pluvieux, du Seven en BD. Le travail de destruction des cases entamé sur les Chroniques trouve ici son aboutissement au service d'un récit sombre et apocalyptique. L'ambiance polar années 30, le mysticisme des indiens, les indics et mafieux adipeux, tout est noir dans cette histoire. Ledroit utilise une technique plus poussée que d'habitude, beaucoup plus réaliste et il est fort dommage qu'il ait depuis abandonné les univers réalistes. Si son travail suivant ébouit par sa finesse et sa noirceur également, jamais son dessin aura été aussi adulte que sur Xoco, album à classer dans le top 10 des meilleures BD jamais réalisées, rien de moins.
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Une belle découverte. Je connaissais le trait d'Olivier Ledroit grâce à Requiem et rien que pour les décors qu'il crée, la lecture de cette BD vaut le coup.

L'histoire pourrait profiter d'un nombre encore plus grand de pages pour rendre hommage au scénario.

Ce second tome est encore une fois haut en couleur et le mélange entre féerie et steampunk est vraiment très bien pensée. Mais cette fois-ci, j’ai trouvé le dessin parfois trop chargé au point que je n’arrivais pas bien à définir certains personnages, comme les fées noires.

On en apprend plus ici sur Obéron et l’on comprend à quel point il est malsain et dangereux tant pour son peuple que pour sa propre famille. Ces passages sont tous simplement sublimes même si plein de cruauté.

À côté de cela on suit Wika qui apprend à devenir une fée accomplie auprès de ses trois marraines. Ces passages je les ai trouvés bien rapides, en quelques planches Wika surpasse ses maîtres, et je n’en ai pas vraiment apprécié l’humour qui était un peu lourd… Du coup l’héroïne n’est toujours pas un personnage que j’arrive à apprécier.

La fin de ce second tome est bien sanglante et je me demande ce qui va se déroulé ensuite pour les personnages et plus principalement pour les fils d’Obéron.

Les deux auteurs nous présentent là un monde plein de merveilles, entre la fantasy et le steampunk, avec les fées et les machines d’Obéron… Les dessins sont envoûtants et le texte sert au mieux ceux-ci, à moins que ça ne soit l’inverse… En fait, les deux sont en symbiose parfaite, ce qui est rare.
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Mon avis :



Je tenais à lire cette bande dessinée avant la fin de l’année 2016 parce que je trouve que les couleurs vives dont la dominante est le doré collent non seulement au genre de l’Héroic - fantasy classique mais aussi à la période des fêtes surtout quand l’univers en question est peuplé de fées.



J’ai expressément demandé à mon compagnon de m’offrir les trois autres tomes pour Noel. Je suis impatiente de rester de longues minutes à contempler les dessins très détaillés, de me laisser prendre au piège de ces albums aux décors oniriques.



Personnellement, j’aurais encore plus accentué le retour dans le passé qui fait toute l’originalité du steampunk et j’aurais veillé à ce que le langage des protagonistes soit moins actuel et donc plus adapté à mes choix.



C’est sympathique de lire une bd de temps en temps : ça change !

Ceux, dont je suis, qui aiment les dessins, les mises en pages et la démesure d'Olivier Ledroit seront comblés. Mais cela sera sans doute un peu plus difficile d'accès pour les personnes qui aiment les BD avec des gaufriers plus ou moins standard. Ici il n'y a pas une partie blanche où se reposer les yeux, les pages sont remplies d'un coin à l'autre et il faut parfois s'y reprendre à 2 fois pour lire les bulles dans le bon ordre (si tant est qu'il y ait un bon ordre!). Certains vaisseaux volants m'ont rappelé les nefs des goules et des vampires dans Requiem chevalier vampire… mais cela n'a rien d'étonnant.



Côté scénario, un personnage à priori positif apparaît dans cet album : le plus jeune fils d'Obéron dont je suppose qu'il aura un rôle important dans les prochains albums (2 annoncés). Thomas Day s'amuse beaucoup avec des allusions à divers contes ou mythes pas toujours évidentes à retrouver. Si Hamelin, le prince joueur de flûte, est plutôt facile à remettre en face du conte de Grimm de base, l'allusion à Tracassin risque de passer au-dessus de ceux qui connaissent le personnage sous son nom allemand de Rumpelstilzchen.

J'apprécie toujours autant l'originalité des "tatouages" variables de Wika qui permettent de comprendre immédiatement son humeur : fleurs et papillons = calme et sérénité et tête de mort = fureur et rage.



Bien qu'Olivier Ledroit ait dit avoir fait cette série pour que sa fille puisse lire une de ses œuvres, il est clair que ce n'est pas destiné à la fille de notre ami Fab avant une dizaine d'années.



Et on écoutes quoi avec ca? http://bobd.over-blog.com/2016/10/sortez-vos-lunettes-teintees/wika-2-vs-la-belle-et-la-bete.html
Lien : http://bobd.over-blog.com/20..