Nationalité : France
Né(e) à : Angers , le 25/09/1974
Biographie :
Olivier Martin est un dessinateur de bandes dessinées, né le 25/09/74 à Angers.
Olivier Martin baigne depuis tout petit, et comme la plupart de ses confrères, dans l'univers féérique de la BD. A la suite d'un bac F12 d'art appliqué, il renforce son expérience artistique en intégrant un BTS d'expression visuelle et d'images de communication, puis une année aux Beaux Arts de Nantes. Préférant l'entourage des copains aux institutions académiques, il caresse le métier avec quelques publications et fanzines au sein d'un groupe nantais. Gourmand de concours, 1996 est une année de consécration puisqu'il décroche le premier prix du festival de Perros Guirrec. Ce concours, présidé par Loisel, offre aux trois premiers gagnants l'opportunité de collaborer avec un scénariste et de rentrer dans la profession. Pour Olivier Martin les projets se concrétisent après l'armée alors qu'il fait ses premiers pas dans l'atelier la Boîte qui fait Beuh et rencontre Eric Omond, son futur scénariste.
Parallèlement il travaille pour le fanzine nantais Sueur Béton puis donne naissance en 98 à un mini-album inspiré du conte des 1001 nuits: "Erzorum" aux éditions Le Cycliste, sur un scénario d'Olivier Supiot. C'est désormais sur la création des deux prochains volumes de la série "Sang et Encre" que Olivier Martin focalise ses efforts. Olivier Marin se dit "ouvert à tous les genres" et pourrait, au gré de ses rencontres, se lancer dans d'autres aventures.
Il participe également à l'album "L'Allée des Rosiers" avec Séverine Lambour au scénario et aux couleurs (éditions Carabas), et c'est la même Séverine qui fera les couleurs de la trilogie "Les Carrés" que scénarise Eric Adam.
En collaboration avec Sylvain Runberg, il sort le dyptique "Face cachée" en 2010.
Encore deux ou trois soirées à se faire refouler de partout comme ça...Et il ne restera plus à ces crétins qu'à devenir Hikikomoris* !
p48
*hikikomori : adolescents ou jeunes adultes qui vivent cloîtrés chez leurs parents, refusant toute communication et cherchant à s'isoler d'une société qu'ils rejettent.
Les personnages d'un roman sont un peu comme des icebergs: on ne peut en voir que le pic, la face émergée, mais il y a toujours une autre face, cachée sous l'eau, et lorsque l'eau descend il faut se laisser surprendre par ce que l'on va découvrir.
Pour moi, le communisme à la sauce stalinienne n'est rien d'autre qu'un fascisme rouge qui menace d'envahir le monde ! Contre lui, l'Amérique est le seul rempart fiable.
Pour moi, le communisme à la sauce stalinienne n'est rien d'autre qu'un fascisme rouge qui menace d'envahir le monde !
Contre lui, l'Amérique est le seul rempart fiable.