Citations de Olivier Petit (19)
Jusqu'à la fin du XIIIème siècle, les rois de France ne disposaient pas de force navale nationale. Lorsque le besoin s'en faisait sentir, en cas de guerre ou de croisade, il leur fallait recourir à l'achat, à la location ou au prêt de navires étrangers avec tous les inconvénients que comportait ce système. Le premier souverain à réagir fut Philippe le Bel. Après avoir lui aussi loué des nefs au roi de Norvège, aux villes hanséatiques, au roi d'Aragon, à Gênes, il se décidé à créer une flotte "nationale", ce qui supposait de lui donner d'abord une infrastructure. C'est à Rouen que celle-ci allait se mettre en place.
(Le clos aux galées, arsenal du Royaume à Rouen)
(Guillaume) Ah, ce cher Edouard... le Confesseur! Ce message doit être d'une grande importance pour qu'il nécessite la visite de mon illustre cousin?
(Harold) Hum... Dans sa grande sagesse et conformément aux droits de votre sang, il souhaite que tu sois son successeur sur le trône d'Angleterre. Quand il sera mort évidemment.
(Guillaume) Je veux te l'entendre dire en prêtant serment Harold Godwinson!
...
(des années plus tard, Mathilde et sa mère Adèle de France content l’événement)
(Mathilde) Et il prêta serment en la cathédrale de Bayeux de notre cher Odon... sur les saintes reliques.
(Adèle) Savait-il que sa main reposait sur les saintes reliques?
(Mathilde) Odon, l'évêque de Bayeux s'était bien gardé de lui dire. C'est tout de même le demi-frère de Guillaume.
(Adèle) De ce fait, s'il ne tenait parole, c'est de parjure qu'Harold serait accusé.
(Mathilde) Guillaume a toujours été très prudent, ma mère.
Et c'est ainsi qu'en ce mois de mai 841, Rouen connu l'une de ses journées les plus terribles. Malgré ses remparts, la ville fût pillée et brûlée pendant deux longues journées. Et les habitants furent massacrés...
-Qu'est ce qu'il a de si passionnant ton bonhomme?
-Il raconte une religion fantastique... qui n'a qu'UN SEUL dieu!
-Ah Ah Ah! C'est impossible... un seul dieu POUR TOUT ?
Les principales sources de la période mérovingienne viennent des chroniques de l'évêque Grégoire de Tours (Histoire des Francs, Ve siècle), tout en sachant qu'à cette époque religion et politique sont pratiquement indissociables. Ainsi Grégoire de Tours, partisan de Sigebert 1er, roi d'Austrasie, n'a pas ménagé sa plume pour discréditer Frédégonde qu'il qualifiait de femme cruelle, tandis que, l'évêque de Poitiers Fortunat, n'avait de cesse de louer les vertus royales de la reine sanglante.
La longue période de lutte entre la France et l'Angleterre, qui fut appelé bien plus tard "guerre de cent ans", ne fut pas exactement une guerre et dura bien plus de cent ans. Cinq rois de France et autant de souverains Anglais se trouvèrent successivement engagés dans ce duel. Trois générations entières vécurent dans un perpétuel climat de troubles et de combats, séparées par des périodes de paix relative, ou de trêves. Et quand cessaient mes combats, les pillages, la famine ou la peste achevaient de ruiner villes et campagnes.
Dans la vie, j'ai eu le choix entre l'amour, la drogue et la mort. J'ai choisi les deux premières et c'est la troisième qui m'a choisi...
J'ai toujours été évêque jusque dans mon bannissement, et vous, vous ne serez pas toujours reine. L'exil me servira de degré pour m'élever au royaume céleste mais vous, de votre trône, vous serez précipitée dans l'abîme, si vous ne renoncez à vos péchés pour en faire une salutaire pénitence.
Plus tard, j'ai compris que, où qu'on aille, on emporte sa désespérance avec soi. Notre bagne, c'est nous.
- Vous ne nous aurez jamais ! Nous sommes rouennais ! Nous avons du sang viking ! Nous sommes indestructibles !
Ce même bourreau disait et affirmait que nonobstant l'huile, le soufre et le charbon qu'il avait appliqués contre les entrailles et le coeur de Jehanne, il n'avait pu venir à bout de consumer et réduire en cendres ni les entrailles, ni le coeur. Il en était très perplexe, comme d'un miracle évident.
Ces Northmanni comme vous dites là, ces païens, ces brigands,... les Vikings, j'en peux plus ! Et ne comptez pas sur mon armée, elle a mieux à faire que de guerroyer ces Normands... Négociez avec eux... [...] Trouvez-moi un chef normand, un homme ayant des valeurs, un entrepreneur en quête de respectabilité et négociez, Hervé... Négociez un bout de terre contre la protection de la Neustrie...
"(...) Je me contentais d'appliquer ce que m'avaient enseigné les Jésuites : "Là où t'a placé Dieu, fais le mieux que tu peux." Mais il était où Dieu ? Pas ici en tout cas, il avait déserté les lieux depuis bien longtemps. (...)" (p. 27).
Lorsqu'on réfléchit sur la signification du vocable "blanc" on s'aperçoit rapidement que si, dans le vocabulaire technique, il désigne généralement une "couleur" de forte luminosité dans laquelle on ne distingue pas de tonalité dominante, sa signification au quotidien est beaucoup plus précise. En effet, un grand nombre d'objets d'utilisation courante sont dits "blancs" et pourtant lorsqu'on les rassemble ils offrent des aspects colorés très variables et la conclusion qui s'impose alors est que : "L'évaluation de la blancheur est particulièrement subjective et qu'elle varie considérablement d'un observateur à un autre".
”Quand j'ai rencontré Jim, j'ai perdu mon innocence.”
John Densmore