Depuis la colonisation du Sapmi par la couronne suédoise au XVII e siècle, les minutes de procès constituent l'une des principales sources de écrites sur la région, racontait-il à Nina de son ton fougueux. Mais on consignait la présence des samis quand ils posaient problème, pas le reste du temps. Autrement dit, un bon Sami est un Sami qui n'existe pas.