Aussi dois-je avouer que, hormis les belles femmes comme ma mère, je n’aimais pas plus que ça les adultes. Ils étaient laids, poilus et grossiers. Ils étaient par trop lourdauds, pesants et réalistes. Ils avaient bien vu à une époque qu’il existait un monde parallèle au sein de ce monde, mais ils avaient perdu leurs facultés de s’étonner et d’imaginer.
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