Contempler les panoramas de la ville en marchant dans la rue ou en se promenant en bateau, c’est faire fusionner ce qu’on voit avec les sentiments que procure Istanbul ; mais observer en se promenant les perspectives d’une rue ce n’est pas seulement ça, c’est en même temps pouvoir faire coïncider l’état d’esprit dans lequel vous vous trouvez avec les vues que vous offre la ville.
(pages 411-412)