C'est ainsi que les lois sociales relatives à la mémoire se sont formées, des lois qui institutionnalisent l'idée que certains moments et événements peuvent être revisités, qu'on peut s'en souvenir et qu'ils valent la peine qu'on les commémore ou qu'on s'y intéresse, tandis que d'autres, il faut bien le reconnaître, doivent être oubliés et laissés derrière soi.