P.D. Viner

Je n'ai pas réussi à accrocher à cette lecture...

Trop de référence à le dernier hiver de Dani Landing, le premier et précédent livre de l'auteur, P.D. Viner.

Malgré une enquête intéressante, des affaires qui se rejoignent, je ne me suis attachée absolument à aucun des personnages. Du coup, les actions se déroulaient et l'émotion, l'appréhension, le suspense n'étaient pas au rendez-vous...

De plus, je trouve que la quatrième de couverture ne reflète pas ce qu'on trouve dans ce bouquin... J'ai horreur d'être déçue par cela... Je choisis mes lectures selon mes envies du moment... Si je n'obtiens pas les émotions recherchées, à moins d'une bonne surprise, je passe obligatoirement à côté de l'histoire...

Dommage...

Je vais tout de même me pencher sur le précédent thriller...que j'ai dans ma PAL... Et peut-être que je revaloriserais un peu mon jugement.

J'ai apprécié le dénouement, le final ! J'ai refermé le bouquin avec un sourire machiavélique. Il y a des chances qu'une suite se profile....

Dani Lancing, étudiante prometteuse et jeune fille modèle, a été violée et sauvagement assassinée. « Les véritables monstres ne se cachent pas dans les armoires. » (p. 15) Des années plus tard, le coupable court toujours. Pour ses parents, Jim et Patty, tout a basculé quand elle est morte. Patty a abandonné une belle carrière pour se consacrer à la traque du tueur et Jim est hanté par le fantôme de Dani. Quant à Thomas Bevans, le premier amour de la disparue, il s’est juré de consacrer toutes ses forces à la recherche des tueurs de jeunes filles. Et voilà que vingt ans plus tard, les avancées scientifiques laissent espérer une réouverture de l’enquête. Mais, depuis longtemps, Patty a décidé de faire justice seule et se prépare, au cours des derniers jours de décembre 2010, à confondre et punir le meurtrier de sa fille. La vengeance, bien qu’illégale, semble profondément juste ici et elle doit affronter des forces contraires et malveillantes. Hélas, à mesure que les preuves font surface et que la vérité se dessine, le beau portrait de Dani Lancing se craquèle pour révéler une image plus sombre. Les vivants sortiront-ils indemnes de cette course contre le mensonge ?



La narration se plaît à perdre le lecteur en effectuant sans cesse des aller-retour dans le temps, retardant ainsi le dénouement de cette sinistre histoire. L’histoire est plutôt bien écrite et même si certaines ficelles sont assez grosses (j’avais compris la raison de la mort de Dani bien avant la fin), le texte ménage quelques surprises intéressantes. Toutefois, je déplore une fin bien trop rocambolesque et qui accumule jusqu’à l’écœurement des révélations qui finissent par mettre à mal la crédibilité de l’histoire. Sans spolier, ça donne à peu près ça : Machin a fait ça à Truc, alors Truc a fait ça et ça a causé ça chez Bidule qui a alors fait ça et ça a eu un impact affreux sur Machin. Bref, une fin surchargée comme un vilain sapin de Noël qui ploierait sous des décorations de mauvais goût. Donc, même si ma lecture n’a pas été déplaisante, je ne recommande pas ce roman dont, finalement, le seul point à retenir est que, enfant, Dani Lancing, avait un lapin en peluche nommé Galipette. Mais ce détail génial (subjectivité, bonjour !) ne suffit pas à rattraper une mauvaise conclusion.

Tout d’abord, merci à Babelio masse critique et aux éditions Delpierre pour l’envoi de ce roman et la découverte de cet auteur.



Avec « peau d’ange », P.D. Viner nous livre un thriller dramatique mais rempli d’émotion et passionnant.



On se retrouve face à la douleur d’un père dont la fille est victime d’un tueur en série. Il a beau être le pire des salauds, il n’en reste pas moins un homme, face au chagrin dû à la perte de son enfant, cherchant à tout prix à venger sa fille. Tout au long du roman, aucun sentiment de nous sera épargné, la peur, la colère, la douleur, … Ils sont décrits avec tellement de justesse, de précision qu’on ne peut y rester indifférents. On ne pourra s’empêcher de ressentir de l’empathie pour Franco, ce père dévasté qu’on devrait pourtant détester. Alors, qu’on devrait être révolté par les atrocités sans nom qu’il a commises, on ne peut s’empêcher de l’aimer vu la manière dont l’auteur joue, si bien, avec le mots.



Tout au long de la lecture, l’écriture est franche, directe. Le style est agréable et on enchaine les pages et les chapitres sans s’en rendre compte. Le tout nous menant vers un final aussi surprenant qu’inattendu.



Le roman nous entraine aussi dans le passé des personnages, ce qui lui donne un rythme appréciable mais peut aussi nous perturber vu qu’on se pose pas mal de questions sur le vécu des personnages. Quel est le lien qui lie Franco et Tom ? Quel est ce terrible secret entre Patty, Jim et Tom ? C’est le seul petit bémol que je mettrai à la lecture de ce thriller,

il vaut mieux avoir lu le premier roman de l’auteur « le dernier hiver de Dani Lancing » pour comprendre les différents protagonistes. Même si l’histoire est compréhensible, il subsiste des zones d’ombres qu’on aimerait éclaircir. Mais, ayant aimé « peau d’ange », je ne vais pas tarder à me plonger dans le roman précédent.



Si vous cherchez un bon thriller pas trop noir, n’hésitez pas à foncer en librairie.

Cela fait 20 ans que Dani Lancing a été sauvagement assassinée, la vie de ses parents a volé en éclats, divorcés, chacun ayant perdu son boulot, son père est persuadé de vivre avec le fantôme de sa fille, son ami d'enfance Tom se noit dans son boulot de flic et son antenne spécialisée dans les affaires de meurtres brutales, ils n'ont de cesse de vouloir trouver l'assassin de Dani, du coup, quand l'opportunité de ré-ouvrir l'enquête se fait sentir, sa mère retrouve toute sa fougue journalistique, n'hésitant pas à traquer, voire à commettre l'irréparable ...



OMG !!! Quelle claque !! Un régal ce livre !! Et pourtant, il est dur, très dur parfois et d'une infinie tristesse, j'en ai eu les larmes aux yeux à plusieurs reprises !

Je tiens à remercier Babelio et les éditions Delpierre pour m'avoir permis de découvrir Peau D'Ange.

J'ai un avis assez mitigé sur ce livre. Le résumé m'avait bien plu, j'ai un peu placé la barre trop haute. Je pensais qu'on allait découvrir le monde souterrain à travers Franco, un père dont la fille a été enlevée. Si on entre dans ce monde, ce n'est que pour en découvrir quelques aspects (bien glauques), puisque Franco va au final mener l'enquête de son côté, avec le deuxième personnage principal de ce livre. Je suis un peu déçue à ce niveau là, j'aurais préféré qu'il y ait un aspect psychologique plus percutant par rapport à ça (je crois que je lis trop de mangas sur les yakuza...).

Le livre pourrait se diviser en deux parties : l'enlèvement de la fille de Franco, et l'enquête du commissaire Bevans. Cette deuxième partie, qui au départ ne m'avait pas trop convaincue de par quelques longueurs au niveau de l'intrigue, s'est au final révélée la partie la plus intéressante et intrigante. On ouvre ici une vieille enquête sur trois jeunes filles assassinées, une affaire à laquelle tient le commissaire Bevans. Le récit est très bien mené, j'étais très prise dans ma lecture lorsque l'on en venait à cette partie du livre. Le dénouement a été par contre un peu rapide (et une grosse part d'ombre m'intrigue d'ailleurs, à propos du coupable... Sans spoiler l'intrigue, on se demande pourquoi l'une des filles s'est retrouvée écorchée dans une sorte de four).



Le personnage de Tom Bevans est intéressant, il fait preuve d'une grande empathie que l'auteur arrive à nous faire ressentir avec ses mots. J'ai beaucoup aimé l'écriture et la tournure de ses phrases. Par contre, j'ai trouvé que ses autres personnages étaient "creux". Franco ne m'a pas tellement interpellée, de même que les personnages secondaires (excepté Patty, que j'ai apprécié). Je pense que c'est dû au fait que ces personnages ont déjà été rencontrés lors du livre précédent celui-ci. L'auteur y fait parfois référence, et si on comprend vite de quoi il en retourne, ça reste parfois bien flou. L'auteur nous donne néanmoins l'envie de découvrir ce premier livre (même si on connaît au final une grande partie de son intrigue...).



Mon avis est donc assez mitigé. Les personnages ne m'ont au final pas tous convaincue, et l'intrigue à laquelle je m'attendais s'est révélée être autre chose. Mais je reconnais que l'auteur sait y faire avec les mots, je ne me suis pas ennuyée pendant ma lecture. Je lis rarement des thrillers, j'avais envie de tenter celui-ci : on peut dire que c'est plutôt positif.
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Je tenais vraiment à remercier Babelio avec sa fameuse Masse Critique, ainsi que les éditions Delpierre pour m'avoir permise de découvrir ce roman dont la couverture m'avait tout de suite taper dans l'œil. À la base, je ne voulais pas participer à cette Masse Critique. Je me suis dit "Non, mais j'ai déjà assez de livres à lire, je participerais une prochaine fois". Et puis j'avais mis ce roman dans ma Wish-List en me disant que je me l'achèterais un jour.



Et puis l'événement passe et je vois qu'il reste encore pas mal de roman dont celui-ci. J'ai donc tenté ma chance sans vraiment être persuadée que je serais sélectionnée. Mais je me trompais. C'est donc avec impatience que je surveillais ma boîte aux lettres pour le réceptionner.



Par où commencer avec cette lecture qui, globalement a été satisfaisante mais qui reste quand même un peu mitigé ?



J'ai passé un très bon moment de lecture mais le seul hic pour ma part c'est le fait que l'auteur mentionne un peu (voir beaucoup trop) son tout premier roman.



D'une part c'est embêtant car je ne l'ai pas lu, du coup je me suis dit à plusieurs reprises "Mince, de quoi il parle là ? Je ne comprends pas". D'une autre part, ce n'est mentionné nul par que Peau d'ange est un tome 2. Je ne pense pas que ce soit le cas, il n'existe pas mal de livre faisant référence à d'autres livres du même auteur, mais je ne sais pas, c'est quelque chose qui m'a un peu gênée, voir même frustrée.



Concernant le "propre récit du roman" (hors les mentions au premier roman de l'auteur) j'ai vraiment adoré l'enquête policière. La lecture devient vite addictive puisqu'on a envie de savoir qui est l'auteur des meurtres en série et surtout de savoir, pourquoi !



Pour ce qui est de la fin de l'enquête, j'ai été surprise car la révélation finale est surprenante, je ne m'y attends pas du tout. Par contre, pour ce qui est de la fin du roman en elle-même, je n'ai pas du tout apprécié j'ai même été plutôt déçue.



En effet, le roman se termine sur deux personnages qu'on retrouve dans le premier livre de l'auteur et il n'a pas trouvé mieux de nous conclure l'enquête, l'histoire de son premier roman dans celui-ci qui est son second. (Je ne sais pas si c'est bien clair tout ça).



En bref, j'ai passé un très bon moment en compagnie de ce roman, j'ai pris plaisir à y tourner les pages et à m'y plonger. L'auteur a une écriture fluide et simple mais le fait qu'il mentionne beaucoup de passage de son premier roman m'a un peu déçu tout comme la fin de son roman.



Je vous le recommande donc mais je vous recommanderais surtout de commencer par le premier roman, vu à quel point il est présent dans celui-ci. Chose que je pense faire maintenant que j'ai lu Peau d'ange.
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C'est en voyageant dans une petite librairie d'Obernai, que mon chéri, est resté scotcher sur la couverture. Et généralement, il ne se trompe jamais. Mais cette-ci la magie n'aura pas opéré.



Au départ, j'ai trouvé les chapitres assez lent. Il y a eu aussi de nombreux bons dans le temps qui n'ont pas aidé à la compréhension, aussi bien au niveau des parents que de l'inspecteur qui est toujours amoureux de Dani après 20 ans. J'ai vraiment eu l'impression que l'histoire s'est accéléré durant les 5 derniers chapitres. Et là, on peut dire que j'ai dévoré le livre.



Bref, pour le coup, j'ai un avis en demi teinte. L'histoire est bien mais j'ai un peu d'inchevé. Peut-être que le second tome l'auteur m'attirera plus que le premier. A faire à suivre donc.


Lien : http://laconteuseblog.canalb..

L'histoire débute en 2010, soit 20 ans après la découverte du corps de Dani. Jamais son assassin n'a été retrouvé, laissant ses parents dans un profond désarroi. Cette épreuve a fini par les séparer, chacun continuant son chemin de son côté, de façon différente mais tout aussi solitaire...



"Le temps guérit toutes les blessures."



Mais qu'en est-il lorsqu'il s'agit de la mort d'un enfant dans des circonstances aussi atroces ?



P.D.Viner décrit, tout au long de ces pages, la douleur que représente la perte d'un enfant pour des parents. Une mort d'autant plus difficile à accepter qu'elle est intervenue de la façon la plus ignoble qui soit.



Il nous présente deux réactions diamétralement opposées: celle du père, Jim, qui vit en compagnie du fantôme de sa fille, et celle de la mère, Patty, qui n'a de cesse de vouloir venger la mort de sa fille en retrouvant son assassin, même après vingt ans. Deux réactions opposées certes, mais qui traduisent cependant le même malaise, la même douleur. Jim est dans le déni le plus complet et semble avoir une vie plus "facile" que Patty qui va aller plus loin que l'on peut l'imaginer dans la folie destructrice de sa volonté de vengeance. Loin, très loin, trop loin sûrement, avec pour seul et unique but de venger son enfant sans passer par la case justice...



On se retrouve ainsi entraîné au fil des pages dans la pire des douleurs que des parents puissent imaginer et aucun sentiment ne nous est épargné: la peur, la colère, le doute, la douleur, la dépression ou encore la résignation. Tous ces sentiments font de ce livre une histoire puissante et douloureuse à la fois, qui ne peut en aucun cas laisser le lecteur indifférent. A plusieurs reprise j'ai été prise d'un malaise indéfinissable à la lecture de certains passages...



P.D. Viner nous promène dans des passés plus ou moins proches, ceux des différents acteurs de ce drame, mais sans jamais nous perdre. Ces flash-back nous permettent au contraire de saisir la moindre évolution de l'histoire de chacun et de l'histoire en général.



L'écriture est franche, directe, sans concession, ce qui accentue le mal être que l'on peut ressentir lors de cette lecture. C'est un constat, pas un reproche, car le sujet traité nécessite ce genre d'approche pour livrer un bon roman, et le pari est tenu ! On se retrouve donc ici face à un thriller dramatique et rempli d'émotions, jusqu'à un final inattendu et aussi sombre que tout le reste du roman...



Un moment de lecture difficile mais passionnant et très prenant !


Lien : http://passionthrillers.blog..

Une étudiante morte depuis longtemps. Des parents et un "petit ami" qui n'ont jamais pu l'oublier.

Un désir de vengeance, une envie de se souvenir des bons moments, un besoin de taire un secret.

Petit à petit l'image de la morte change. Etait-elle celle que l'on croyait ? Les choses sont-elles ce que l'on croit ?

Alors que les certitudes vacillent, de nouveaux personnages apparaissent et changent tout.

J'ai bien aimé le rythme, les surprises et le style.

Certes, beaucoup de choses ne sont pas très vraisemblables, mais qu'importe.

La vie de Jim et Patty a volé en éclat suite à la mort atroce de leur fille Dani. Jim continue à vivre grâce au fantôme de sa fille, et Patty ne vit que pour la venger. Douleur, colère, peur... L'écriture sans ambages, cru par moment, de P.D. Viner nous embarquent dans l'histoire de Dani à la recherche du tueur. Les flash-back sont bien menés et nous permettent d'appréhender l'histoire au fil de la lecture. Bon Thriller.

P.D Viner – Le dernier hiver de Dani Lancing

18 mai 2016 ~ marylit ~ Modifier













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Le dernier hiver de Dani Lancing. Viner



Résumé de l’éditeur :



Le meurtre de Dani Lancing, étudiante, a été violent et brutal. Son assassin est resté anonyme.Ses parents ne se sont jamais remis de ce cauchemar, même au bout de vingt ans. Leur mariage s’est effondré, la mère a renoncé à sa brillante carrière de journaliste pour chercher le moindre indice, et le père est poursuivi par le fantôme de sa fille.Tom, son amour d’enfance, se noie dans son boulot de détective pour empêcher que d’autres jeunes filles connaissent le même sort.Lorsque Tom découvre une piste et déterre l’affaire, la mère de Dani les entraîne dans sa folie de vengeance sans limites, prête à descendre aussi bas que le monstre qu’elle pourchasse.



Mon avis :



Il est rare que j’aie des avis vraiment négatifs sur mes lectures. Celui-ci hélas va rentrer dans les annales du roman le plus mal écrit que j’aie pu lire dans le genre. Un vrai fouillis dans la succession des chapitres. Personnellement je puis jongler sans problème avec les flash-back, ou bien les alternances des chapitres par personnage. Ici, c’est un vrai méli-mélo. J’ai eu beaucoup de mal à suivre ce livre. Je m’y suis ennuyée.



Je ne puis pas fermer un livre. Je le lis jusqu’au bout pour au moins me faire une opinion. De cet auteur je n’ai que ce livre là.

L’auteur réserve toutefois lors des quelques dernières pages le coup de théâtre final où là tout tient la route dans le récit. Quel dommage que tout ce qui a précédé n’ait pas été écrit dans la même veine, avec ce tempo, ces descriptions.



La perte d’un enfant, oui, je suis d’accord, c’est injuste, infiniment triste. Le répéter à longueur de chapitre cela devient lassant. L’auteur aurait pu, d’après moi qui ne suis que novice en critiques littéraires ne pas autant plonger dans des redondances pathétiques concernant la peine des parents, mais au contraire mettre davantage en avant les protagonistes de ce récit que nous retrouvons à la fin du livre.



Très peu de rebondissements. Le quatrième de couverture m’avait bien tenté. Hélas il n’a pas été à la hauteur de mes attentes.



Un livre mal écrit. Désolée pour l’auteur. Ou alors a souffert d’une très mauvaise traduction ? Je l’ignore. Comme ce roman avait été nominé, je me suis laissée tenter. Ce fut une erreur. C’est fait, c’est écrit.



L’idée de base et qui se découvre à la fin est excellente. Un autre développement aurait été meilleur que ces mélanges où j’ai eu bien des difficultés à m’y retrouver.



18-05-2016
Lien : https://marylit.wordpress.co..