Ce roman est mon œuvre mais je n’y ai rien mis de neuf ni d’original. D’autres ont déjà tenu les mêmes discours que mes héros :
« Réconforter, essuyer des larmes, faire renaitre le sourire. »
« Nous sommes liés aux autres, un sourire me rend heureux, des larmes m’affligent. En ce monde, j’aperçois tant de souffrances et d’infortune mais davantage d’amour encore. »
« Cela réchauffe le cœur comme une journée de printemps. En définitive, la vie est une belle aventure. »
Tout cela a été déjà dit des milliers de fois par des milliers de gens. Cela me réjouit d’être en mesure de le répéter une fois de plus et d’apprendre à tous [… ] que l’homme ne se nourrit pas de billets de banque et, qu’au-delà de sa course aux richesses, il y a plus important, infiniment plus important.
Bajin, juillet 1944