Ça va mieux.
J'ai repoussé plusieurs propositions commerciales m'offrant un joli chèque pour poser ma voix au service d'une marque. Même en vivant sur mes réserves, je tiens encore. Le journalisme est devenu une activité décriée, insultée, vilipendée, méprisée, moquée, pour de bonnes et de mauvaises raisons, il restera mon métier aussi longtemps que j'aurais les yeux verts et que je serai née à Paris.