La première conséquence de la disparition de Maxime, c'est que le monde autour de moi a changé de consistance : j'avais le sentiment que l'air, de léger et impalpable qu'il était , s'était transformé en une sorte de bouillie collante qui pesait dans mes poumons, m'écrasait les temps et rendait pénible le moindre geste.