Intervention de Paskal Carlier, auteur et éditeur (Editions du Préau) lors du café culturel consacré à la vie du livre, organisé par Art & Culture Montargis le 21 mars 2013 au Belman.
Non, ce n'est pas possible, personne ne peut jeter un sort. On n'est pas dans un roman de Stephen King, mais dans la réalité. Il y a sans doute une réponse davantage rationnelle, certainement pas une provenant du surnaturel…
C'est amusant, quand on écoute parler les obèses, ce n'est en aucun cas de leur faute. Pourtant, on les voit tout de même plus souvent dans les fast-foods à se goinfrer de cochonneries que dans les salles de sports…
C’est un fait, les obèses ne sont pas crédibles, ils font fuir les acheteurs. Je les comprends, personnellement, je ne ferai jamais confiance à un gros pour me prodiguer des conseils. Comment pourrait-on accorder son crédit à une personne qui n’a même pas le respect de son propre corps ?
Le psychisme humain provoque parfois des phénomènes étranges.
On ne s'imagine pas, quand on est en bonne santé, qu'il puisse y avoir autant de malades.
S’il y a des gens négatifs, c’est simplement qu’il existe des âmes noires, et, parfois, lorsqu’un esprit bon est missionné sur Terre, l’âme noire prend sa place et fait le mal. Pour les plus jeunes, c’est un peu la même chose : il arrive que nous nous apercevions qu’un esprit envoyé sur Terre ne sera pas en mesure d’accomplir la mission pour laquelle nous l’avons choisi, alors nous le rappelons.
Tout ce que je constate, c'est que tu es persuadé d'être envoûté, et par un fantôme en plus. Dans mon métier de médecin, ça s’appelle une phobie ou une psychose paranoïaque et on en guérit.
Quand on est gros comme toi, on ne prend pas le RER déjà bondé où tu utilises deux places.