- J'aimerais bien qu'elle vienne, dit-il d'une voix dure. Je l'accueillerais avec mon Sig Sauer et on pourrait enfin mettre un terme à tout cela.
Je savais que Benton voulait vraiment l'abattre et, d'une certaine façon, c'était l'un des ravages les plus affreux auxquels elle était parvenue. Ça ne ressemblait pas à Benton, cette envie de violence, de tolérer que l'ombre du mal qu'il traquait contamine son cœur et sa conscience et, en l'écoutant, je me sentis moi aussi coupable.