Nationalité : France
Né(e) à : Douala, Cameroun , le 06/03/1946
Né(e) à : Douala, Cameroun , le 06/03/1946
Biographie :
Patrick Baudry est un ancien pilote de chasse de l'Armée de l'air française (grade de colonel), pilote d'essais, pilote de ligne et instructeur pilote de ligne, pilote professionnel d'hélicoptères.
Il intègre l’École de l'air de Salon de Provence, en 1967, et en sort titulaire d’un diplôme d’ingénieur de l’Air et officier de l’Armée de l’air en 1969. Sélectionné en 1980 par le Centre National d'Études Spatiales pour former le premier groupe d'astronautes français avec Jean-Loup Chrétien, il va alors suivre l'entraînement des cosmonautes soviétiques à la Cité des étoiles près de Moscou, jusqu'en 1982.
Le 23 mars 1984, Patrick Baudry rejoint le corps des astronautes de la NASA, basé à Houston au Texas, afin de préparer le premier vol spatial franco-américain. Il fait partie de la mission STS-51-G sur Discovery, dont le lancement a lieu le 17 juin 1985 au départ de Cap Canaveral au Kennedy Space Center en Floride. Discovery revient sur Terre le 24 juin sur la base d’Edwards en Californie. Il devient le second astronaute français à être allé dans l'espace lors du premier vol spatial franco-américain.
De son aventure, il tire un premier livre avec Benoît Clair intitulé "Aujourd'hui, le soleil se lève seize fois", puis "Le Rêve et l'Espace" écrit en 2002 et publié aux Éditions du Chêne.
En 1986, Patrick Baudry est nommé conseiller pour les vols habités auprès du président d'Aérospatiale. Il a également écrit de nombreux ouvrages traitant de sujets aussi bien techniques, scientifiques, que philosophiques ou encore humanistes.
Il participe ponctuellement, entre 1985 et 1997, à l'émission "Les Grosses Têtes" à la radio sur RTL.
son site : http://www.patrick-baudry.com
chaîne YouTube : https://www.youtube.com/@patrickbaudry
+ Voir plusPatrick Baudry est un ancien pilote de chasse de l'Armée de l'air française (grade de colonel), pilote d'essais, pilote de ligne et instructeur pilote de ligne, pilote professionnel d'hélicoptères.
Il intègre l’École de l'air de Salon de Provence, en 1967, et en sort titulaire d’un diplôme d’ingénieur de l’Air et officier de l’Armée de l’air en 1969. Sélectionné en 1980 par le Centre National d'Études Spatiales pour former le premier groupe d'astronautes français avec Jean-Loup Chrétien, il va alors suivre l'entraînement des cosmonautes soviétiques à la Cité des étoiles près de Moscou, jusqu'en 1982.
Le 23 mars 1984, Patrick Baudry rejoint le corps des astronautes de la NASA, basé à Houston au Texas, afin de préparer le premier vol spatial franco-américain. Il fait partie de la mission STS-51-G sur Discovery, dont le lancement a lieu le 17 juin 1985 au départ de Cap Canaveral au Kennedy Space Center en Floride. Discovery revient sur Terre le 24 juin sur la base d’Edwards en Californie. Il devient le second astronaute français à être allé dans l'espace lors du premier vol spatial franco-américain.
De son aventure, il tire un premier livre avec Benoît Clair intitulé "Aujourd'hui, le soleil se lève seize fois", puis "Le Rêve et l'Espace" écrit en 2002 et publié aux Éditions du Chêne.
En 1986, Patrick Baudry est nommé conseiller pour les vols habités auprès du président d'Aérospatiale. Il a également écrit de nombreux ouvrages traitant de sujets aussi bien techniques, scientifiques, que philosophiques ou encore humanistes.
Il participe ponctuellement, entre 1985 et 1997, à l'émission "Les Grosses Têtes" à la radio sur RTL.
son site : http://www.patrick-baudry.com
chaîne YouTube : https://www.youtube.com/@patrickbaudry
Source : wikipedia
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"En attendant Hermès" - entrée simulateur navette
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Laïka s'était aussi beaucoup entraînée dans la centrifugeuse.
Attention, par l'ustensile de cuisine qui sert à mixer les fruits et les légumes! Cette centrifugeuse-là est une grande machine avec un bras très long au bout duquel on installe des cosmonautes pour les faire tourner de plus en plus vite, un peu comme dans les manèges de fête foraine, mais à l'horizontale.
Attention, par l'ustensile de cuisine qui sert à mixer les fruits et les légumes! Cette centrifugeuse-là est une grande machine avec un bras très long au bout duquel on installe des cosmonautes pour les faire tourner de plus en plus vite, un peu comme dans les manèges de fête foraine, mais à l'horizontale.
La conquête spatiale a été en phase avec nos rêves et nos rêves ont été importés. Chacun des pas franchis depuis 1957 a été un pas en avant et, parallèlement à cette Conquête qui nous enthousiasmait, l'Espace dit utile a progressé lui-même à pas de géants. Aujourd'hui, les nombreuses applications de l'Espace industriel et commercial sont à notre disposition dans notre vie de tous les jours ainsi que dans la vie économique de nos pays; Cet Espace "utile" est une formidable Conquête des agences spatiales comme des entreprises. En revanche, le rêve s'est évanoui avec la désintégration de la station Mir dans l'atmosphère terrestre en 2001. Jusqu'alors, il eût semblé que nous apprenions à vivre et à travailler dans l'Espace afin d'aller plus loin; sur Mars tout d'abord bien entendu.
Mais ce n'était qu'une illusion, et cette illusion fut entamée avec la décision américaine du programme navette, une navette spatiale qui ne pouvait aller jusqu'à quelques centaines de kilomètres de la Terre au prix de mille dangers et pour un coût déraisonnable. Ceci était une mauvaise orientation, puisque ce programme de navette nous amenés à tourner sans fin autour de notre Terre depuis maintenant plus de 30 ans. Cette Orientation désastreuse fut confirmée très vite par la décision de la création de l'ISS (Station spatiale internationale), décision d'une politique américaine irresponsable et à courte vue. Ceci s'est encore accentué par le "suivisme" pleutre et sans imagination des agences européennes, canadienne et japonaises. Mais, celle-ci, après-tout, ne font que refléter l'absence d'ambition et de vision des pouvoirs politiques.
Mais ce n'était qu'une illusion, et cette illusion fut entamée avec la décision américaine du programme navette, une navette spatiale qui ne pouvait aller jusqu'à quelques centaines de kilomètres de la Terre au prix de mille dangers et pour un coût déraisonnable. Ceci était une mauvaise orientation, puisque ce programme de navette nous amenés à tourner sans fin autour de notre Terre depuis maintenant plus de 30 ans. Cette Orientation désastreuse fut confirmée très vite par la décision de la création de l'ISS (Station spatiale internationale), décision d'une politique américaine irresponsable et à courte vue. Ceci s'est encore accentué par le "suivisme" pleutre et sans imagination des agences européennes, canadienne et japonaises. Mais, celle-ci, après-tout, ne font que refléter l'absence d'ambition et de vision des pouvoirs politiques.
Le silicium servira à la fabrication de cellules photovoltaïques destinées aux générateurs solaires. En effet, les centrales électriques en orbite ou sur le sol lunaire réclameront d'immenses panneaux; on pourrait les confectionner sur Terre, mais il reviendra vite moins cher de la produire directement sur la Lune.
Les premiers jours, nous montrions nos propres Pays. Au troisième et quatrième jour, notre Continent. Dès le cinquième jour, nous ne fîmes plus attention qu'à la seule Terre.
L'idée n'était pas entièrement nouvelle: durant la Seconde Guerre mondiale, elle avait déjà été l'objet des recherches d'un ingénieur allemand, Eugen Sänger. Celui-ci avait tenté de créer un bombardier capable de larguer ses projectiles à plusieurs milliers de kilomètres de sa base et de revenir à son point de départ après avoir accompli un tour de la Terre à une altitude de deux cent cinquante kilomètres...
Finalement, un rapport interne de la NASA, rendu public le 1 mai 2003, explique la tragédie par le décollement d'un morceau de mousse isolante du réservoir externe de carburant lors du départ, fragment venu heurter et détériorer un panneau ou un joint d'étanchéité sous l'aile gauche de l'avion spatial.
Depuis le 19 avril 1971, date du lancement de la première station orbitale par les Soviétiques, nous avons parcouru et parcouru encore cet espace proche, nous y avons mené toutes les expériences scientifiques possibles, pour un résultat bien maigre.
L'erreur de la NASA fut de vouloir vendre l'espace habité pour en faire non plus une grande aventure humaine et scientifique, mais une source de profit.
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