Sylvain a raison : difficile de se trouver l'identité sous l'oeil fixe d'un dimanche. Et quand il pleut, c'est pire : on est planté en soi sans échappée possible. En semaine, on dispose des compulsions que le capitalisme occidental nous a mises dans les os. Mais le dimanche, l'intensité des pubs et des centres commerciaux s'atténue quelque peu. On est alors victime d'un refoulé d'humanité qui vous plante en béance.