J'aime décidément beaucoup cette collection "D'une seule voix" dont les romans font monologuer des ados.
Ici, le narrateur est rongé de culpabilité et s'étouffe dans le silence qui est son habitude.
Dans son quartier, Demba, avec qui il était en rivalité pour une histoire de bagarre et de casquette, vient de mourir dans un accident de scooter... Avoir souhaité un jour sa mort, cela fait-il de lui un assassin ?
Le texte exprime très bien le ressenti de la culpabilité, du deuil, de l'absurdité de la mort quand on est ado.
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Un petit livre facile à lire, qui fait froid dans le dos et qui donne à penser ! Que fait-on de nos paroles lancées dans la colère et le ressentiment, lorsqu'elles s'accomplissent de manière tragique ?
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Cinq nouvelles pour retrouver le choc de l’Apocalypse et du Chant du Monde
Sur mon blog : https://charybde2.wordpress.com/2017/06/26/note-de-lecture-ecrire-lapocalypse-collectif/
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