Ecrire, ça soulage. On appuie là où ça fait mal, on se mord la lèvre, mais ensuite, on supporte la douleur. On se branche avec celle de l’autre, celle des autres, et on se libère. C’est une manière de courant alternatif qui vous passe dans les veines, avec des frémissements d’aise et de peur.