Nicolas Sarkozy, qui aimait se faire qualifier « d'Américain», en raison de l'affection qu'il portait au pays de George Washington, Elvis Presley et Walt Disney, pouvait désormais apprécier le surnom de « Sarkozy l'Israélien» que certains milieux, en Israël, lui attribuaient déjà, sans qu'il n'eût à dépenser son énergie en lisant la moindre ligne du Talmud.