Kewei, quinze heures par jour, plongeait dans sa peinture aux exhalaisons puissantes. Il ruminait les critiques acerbes de son maître. Lorsqu'il allait enfin se coucher , l'odeur de la peinture l'accompagnait. Il lui semblait que ses cheveux étaient devenus des poils de pinceau. Qu'il était tout entier un manche douloureux. (p. 145)