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Citations de Paul-Jean Hérault (127)


L'univers est peuplé de cons, ce monde-ci comme n'importe quel autre. Et c'est très réconfortant quand on n'est pas dans ce lot!
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Le doute est certainement ce qui fait avancer le plus l'être humain, et le plus souffrir l'homme.
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Si tu te laisses envahir par l'amertume, le regret de ce qui aurait pu être ou même de ce qui a été, ta vie est foutue. Non seulement tu as perdu un amour, mais en plus tu t'es perdu aussi...
La nana c'était qui ?
Hein ?
Cette nana qui t'a fait pondre ce petit couplet, c'était qui ?
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Le premier qui dort réveille l'autre...
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La plupart des politiciens ont une ambition extrême, anormale. Et c’est comme ça depuis toujours ! Nous choisissons des malades pour nous diriger… Cela explique, en partie, toutes les formes de guerre qui nous ont opposés. Parce que ces politiciens, eux, ne font jamais la guerre véritable, ils y envoient les autres !
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La délation est l'une des choses les plus répandues dans l'humanité ! Moins tout de même que la bêtise, en tête du hit parade....
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L’anonymat. La seule, la vraie liberté réside dans l’anonymat. Ne pas se faire remarquer, être un parmi les autres. A ce moment on peut jouir totalement de la civilisation humaine.
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Depuis quatre millénaires que des Fédérations ou Confédérations se sont constituées, des guerres surgissent régulièrement, entre elles. Toutes, pour des questions d’hégémonie commerciale. Des essais ont été publiés sur ce sujet, à la holo, on en trouve dans toutes les banques de données importantes. Même les guerres que l'on croyait provoquées par un dingue venu au pouvoir n’étaient que des alibis masquant des amblions commerciales, l'ouverture d'un nouveau marché. Ces dingues étaient eux-mêmes manipulés !
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L'univers est peuplé de cons, ce monde-ci comme n'importe quel autre. Et c'est très réconfortant quand on n'est pas dans ce lot!
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Il me semble qu'aucune personne sensible ne devient jamais adulte, intérieurement, fit-il. On doit arriver au bout de sa vie avec le même cerveau qu'à vingt ans, les mêmes rêves. Ce qui importe, c'est qu'on se conduise en adulte, dans sa vie professionnelle.
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Rien ne marque plus profondément une nation que les guerres. Elles sont toujours le point de départ d'une nouvelle époque, pas forcément meilleure, mais différente.
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Dans une traque, mets-toi à la place du gibier Lui aussi réfléchit.
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Quel était le couillon qui avait dit en substance que les combats désespérés sont les plus beaux ? Dans un fauteuil, oui! Sur le terrain, le plus important est de survivre.
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Un supérieur-ne-change-pas-d'avis, il-pense...
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Quel était le couillon qui avait dit en substance que les combats désespérés sont les plus beaux ? Dans un fauteuil, oui! Sur le terrain, le plus important est de survivre.
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Bien sûr il y avait eu des crimes de guerre, mais autant que dans n'importe quel autre conflit du passé des hommes. Pas davantage. Une guerre amène forcément, inéluctablement, des actes de ce genre. Si l'on veut supprimer les crimes de guerre, alors il ne faut pas faire de guerre ! Ceux que l'on y envoie ne demanderont pas mieux... Dans une société civile il se produit des assassinats, on ne condamne pas toute la population pour autant sous prétexte qu'elle a généré ces meurtriers ?
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Toutes les guerres ; toutes sans aucune exception ; ont connu leur dose de ce qu'on doit bien appeler des crimes, en accordant à ce mot le sens que l'on donne dans le civil, dans l'organisation de la société. Ce qui est injuste puisqu'on nous apprend délibérément à faire ce qui est interdit dans la société civile. Qu'on nous recommande de le faire. Qu'on nous blâme ou on nous condamne si l'on ne tue pas ! Celui qui te dira le contraire est un foutu menteur. Ou alors un imbécile qui n'a jamais été au combat et pontifie, dans un fauteuil, entre amis. C'est une situation propre à la guerre, à toutes les guerres, sans exception.
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Il y a autant de façon de faire la guerre, et d'en souffrir, quelle que soit celle-ci, qu'il y a d'hommes sur cette terre.

Anonyme. Entendu à une table du carré d'un navire ramenant des soldats en France.
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Pour nous la sanction qui frappe un délinquant n'est pas une punition. Parce que cela voudrait dire qu'une fois la peine purgée, tout serait oublié. Trop facile. Un criminel passerait vingt ans en détention par exemple, et reprendrait sa place comme si de rien n'était ? Ah non. Cet homme-là est dangereux pour les autres. Et la sanction doit protéger la société contre un individu dangereux. C'est pourquoi nous n'avons pas de prison. (...) Nous pratiquons l'exil. (...) Les délinquants sont d'abord envoyés sur une île lointaine, où ils se trouvent avec des délinquants de même importance. Les voleurs avec les voleurs, les violents avec des violents, les criminels avec des criminels. Ils trouvent sur place de quoi se loger normalement et survivre. Ils peuvent cultiver, faire des élevages. Mais dans tous les cas, ils doivent travailler pour subvenir à leurs propres besoins. (...) Leur peine terminée, ils sont amenés sur une autre île, où ils accomplissent le même temps, dans des conditions de vie différentes. Ils y trouvent de vraies petites villes, notamment. Sauf les criminels, qui ne quittent jamais leur lieu d'exil jusqu'à la fin de leurs jours. Nous ne supportons pas la violence.
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Pour nous la sanction qui frappe un délinquant n'est pas une punition. Parce que cela voudrait dire qu'une fois la peine purgée, tout serait oublié. Trop facile. Un criminel passerait vingt ans en détention par exemple, et reprendrait sa place comme si de rien n'était ? Ah non. Cet homme-là est dangereux pour les autres. Et la sanction doit protéger la société contre un individu dangereux. C'est pourquoi nous n'avons pas de prison. (...) Nous pratiquons l'exil. (...) Les délinquants sont d'abord envoyés sur une île lointaine, où ils se trouvent avec des délinquants de même importance. Les voleurs avec les voleurs, les violents avec des violents, les criminels avec des criminels. Ils trouvent sur place de quoi se loger normalement et survivre. Ils peuvent cultiver, faire des élevages. Mais dans tous les cas, ils doivent travailler pour subvenir à leurs propres besoins. (...) Leur peine terminée, ils sont amenés sur une autre île, où ils accomplissent le même temps, dans des conditions de vie différentes. Ils y trouvent de vraies petites villes, notamment. Sauf les criminels, qui ne quittent jamais leur lieu d'exil jusqu'à la fin de leurs jours. Nous ne supportons pas la violence.
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