La vie n'était pas un divertissement, mais une chose à laquelle on devait travailler, que l'on devait sculpter, polir et sabler afin d'être en mesure, à son terme, de léguer aux autres une forme de beauté et d'équilibre visibles. Le bonheur était un facteur rarement pris en compte au cours de ce processus, en tout cas pas lorsqu'on était né dans une famille royale.