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Citations de Paul Kearney (62)


Il est de la trempe dont on fait les vieillards. Sais-tu pourquoi ? Parce que rester en vie est le dernier de ses soucis.
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Si tu veux manger de la viande, tu dois égorger un autre être vivant. On n’a rien sans rien. Quand la vie donne une chose, elle en reprend une autre. C’est une simple question d’équilibre.
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Paul Kearney
Mon style n’est simplement pas pour tout le monde : je crois que je suis un écrivain très masculin et j’aime apporter un réalisme dur à mes mondes, ce qui peut rebuter ceux qui préfèrent leurs batailles sans une goutte de sang et leurs licornes fraîchement pansées.
Si un lecteur veut des dragons tout douillets et des adolescents avec une baguette magique, qu’ils aillent ailleurs. Je n’écris pas pour les enfants.
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Ne souhaite jamais assister à une guerre. Il n’existe rien de plus épouvantable, et celui qui en a été témoin ne peut la chasser de son esprit.
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- Mon père était un bon guerrier, mais aussi un brigand doublé d'un vantard. J'étais conscient de ses lacunes, en dépit de l'amour que lui portais. Il a affronté Corvus à l'épée et a perdu la vie. Mais Corvus lui a accordé des funérailles dignes d'un roi. Je n'appartiens pas à un peuple de citadins. Sans doute nous qualifieriez-vous de sauvages, et vous auriez raison, mais nous savons reconnaître la grandeur d'un homme. Corvus la possède. Et je souhaite être à ses côtés le jour où elle s'épanouira pleinement... par goût de l'aventure. Je brûle du désir d'entrer dans l'Histoire.
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Heureusement que la guerre est aussi terrible car sinon, nous ne l'aimerions que trop.
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Connaître la défaite est une chose. Connaître la trahison en est une autre.
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L'homme a de plus en plus tendance à s'attarder sur les défaites que sur les victoires éclatantes.
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Au sein de l'Adeptus Astartes, nous ne pleurons pas nos camarades comme le font les hommes. Pour nous, le trépas est l'aboutissement de notre destinée. Nous avons été créés afin de détruire les ennemis de l'humanité, et lorsque nous mourrons, notre destinée est accomplie, notre objectif ultime est atteint. Il n'est pas de mission plus noble dans l'univers, de meilleure manière de mourir. Il nous manque peut-être la sagesse et l'esprit, la férocité implacable de ceux qui ont déjà connu la Paix de l'Empereur. A la différence des hommes, nous ne nous attardons pas sur leur mort, car nous savons qu'un jour nous les suivrons sur cette route plongée dans les ténèbres.
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Le regret n'est pas le sentiment le plus stérile, c'est la colère, la colère envers la bêtise, le gâchis, envers la stupidité crasse de tant de personnes au sein de l'Imperium de l'Humanité.
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Certaines montagnes valent d'être gravies, quelle que soit la solitude que nous éprouvons une fois arrivés au sommet.
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Il les regarda un à un, dissimulant ses doutes en son fort intérieur. Un capitaine Ultramarine ne pouvait se permettre de manifester le moindre ou appréhension, sur son visage ou dans ses gestes - il ne pouvait pas se payer ce luxe. Galenus sentait le fardeau de le responsabilité peser sur ses épaules – pour ses frères, pour le chapitre. Tel était le sens du mot « commander ».
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Nous nous battons contre eux depuis des générations, et nous ne savons toujours rien d'eux. Et je les soupçonne d'en savoir aussi peu sur nous. Deux peuples qui n'ont jamais essayé de se comprendre, mais qui veulent s'anéantir mutuellement. (Corfe à Andruw, au sujet des Medruks)
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Un idiot n'aime jamais écouter les paroles de sagesse, surtout quand elles contrarient ses désirs. Réfléchis, Lofantyr ! Ne pense pas à ta propre fierté, mais au royaume ! Un roi qui n'est pas maître de lui-même n'est maître de rien du tout. (Odelia)
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La diplomatie a toujours été un mélange de fourberie, de courtoisie et de meurtre. (Abeleyn à Jemilla)
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Nous étions venus ici pour fuir quelque chose; ils sont venus ici pour chercher quelque chose. Nous leur avons donné de la peur pour remplir leurs ventres et une terreur noire pour assécher leurs bourses. Nous avons fait d'eux des hommes traqués et nous leur avons pris tout ce que nous voulions.
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La population de la cité, un quart de million de personnes, était presque aussi dense que celle d'Abrusio, mais il y avait quelque chose de plus frénétique dans la patrie d'Abeleyn. Son extrême diversité de couleurs, peut-être. Son désordre animé dans la promiscuité. Si Val Ephrir était une grande dame digne qui accueillait ses invités avec une majesté souveraine, Abrusio était une vieille catin paillarde qui écartait les jambes au monde.
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- Lycanthrope, m'entendez-vous ? Ecoutez-vous ?
- Douleur agonie florissant dans mon crâne les gueules des armes pointées sur moi me font pleurer boire du sang sucré mourir. Mourir.
- Lycanthrope ! Ecoutez-moi, je suis un ami, regardez-moi ! Regardez le lutin devant vous.
Les yeux jaunes s'illuminèrent, injectés de sang.
- Je vous vois. A qui appartenez-vous ?
Le lutin parla avec la voix de son maître, tremblotant de soulagement. Son cerveau était presque en surcharge.
- Bardolin. Je suis le mage Bardolin. Suivez ce lutin et il vous conduira à moi.
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Il n'y avait aucun bruit, hormis le sifflement et le clapotis de la mer, le craquement du bois et du gréement, le martèlement d'un tonneau défoncé qui roulait d'avant en arrière entre les dalots. Le capitaine leva la tête quand il flaira l'odeur de la corruption dans l'air. Il croisa le regard entendu du vieux Jakob. Ils hochèrent la tête. Il y avait la mort à bord, des cadavres qui pourrissaient quelque part.
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Golophin ne donnait pas cher de la Torunnie avec une femme - bien que capable - sur son trône, encadrée par les Medruks d'un côté et les Himeriens de l'autre.
Plus près, l'Eglise Himerienne consolidait rapidement son emprise sur une large bande du continent. Ce cornichon guindé, Cadamost, avait prié les forces armées de l'Eglise de pénétrer dans le Perigraine, sans se demander comment il s'y prendrait pour les en faire ressortir un jour.
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