Le propriétaire répondit que le chien d'un monsieur qui paie deux cent pesos de loyer ne pouvait pas recevoir le même traitement que celui d'un individu qui ne peut en payer que trente ; le Tchèque répliqua, à peu près, que seuls des propriétaires minables avaient ce genre de mentalité et que le moment viendrait où l'on n'en ferait qu'une bouchée.