"Le cyclisme est une anomalie en ce sens que c'est un sport individuel disputé par des équipes. " (p. 213)
"Tous ceux qui ont déjà croisé un fan slovaque savent qu'il ne se déplace jamais sans son uniforme qui comprend : un drapeau slovaque, une tenue de sport en tissu synthétique, un survêtement (le plus souvent mais pas toujours ), une casquette, en général à l'effigie dune marque de boisson énergétique et, obligation légale et contraignante dans les rues de Bratislava, une maxi canette de bière de Pilsner Urquell." (p. 194)
"Nous entrions à présent dans cet étrange jeu du chat et de la souris que l'on ne voit que dans le cyclisme où un coureur doit compter sur l'autre pour avoir la meilleure chance de l'emporter tout en étant en même temps parfaitement conscient que cet autre coureur est aussi son rival le plus dangereux pour cette même victoire." (p. 130)
Et lorsque les gens qui comptent le plus à vos yeux sont ceux qui vous permettent d'atteindre les sommets, les célébrations sont d'autant plus poignantes.
If I win, I win. If I crash, I crash. If I come thirtieth, I come thirtieth. I'll still be Peter at the finish, the sky won't crash in.
Time spent with the people you love most is never time wasted, even if you just spend it wasting time. It's beautiful.
You may feel it's unlucky when a break gets recaptured within two kilometres of the line after 100 kilometres out in the wind, but it's not really luck, it's the masterplan working.