C'était le visage d'un homme fait pour dominer ou pour être combattu, en aucun cas celui de quelqu'un que l'on pouvait traiter avec condescendance ou pitié. Les mouvements de son corps était amples, parfaitement équilibrés comme ceux d'un fauve, et, quand il pénétrait dans une pièce comme celle-ci, on aurait dit un animal sauvage enfermé dans une cage trop petite pour lui.