Quand la mort fait partie de l’ordre du monde, elle n’est pas la mort, elle est un passage. Moi, j’avais introduit le désordre. J’avais fait du passage une mort, et Chau Prak mourait devant moi dans l’horreur et dans l’angoisse. Tandis qu’avec fatuité je croyais recueillir la sagesse de son vieux père, je le vidais, lui, avec la science et la méthode que je lui enseignais, je le dépouillais de son ordre intérieur, et je le livrais, nu et vide, à sa mort …
C’est cela mon œuvre au Cambodge.