En ce temps-là, la nature était mon maître.
J'aimais me laisser vivre et faisais mienne toujours la devise du peintre du retable : Als ij kan.
Je vivais dans l'incommensurable amour de Paule, comme s'il s'était agi d'un pays.
Je songeais à des romans.
Puis Paule est morte.
Le paysage s'est ouvert aux massacres. J'ai découvert combien il y avait peu de la grâce au vide.