« L’air sentait bon. Le sable était encore humide. Il prit ses chaussures à la main et marcha le long de la côte. Il faisait frais, le soleil ne chauffait pas vraiment , il brillait dans la rosée des joncs qui poussaient pr touffes, prenait des goélands dans ses rayons sur un fond de ciel chargé , mais lointain, immobile, parcouru d’éclairs silencieux. »