Avec ce tome on retouche à l'essence même de la série originale. Michel et Steve au volant avec un du duo en délicatesse avec son mental (en l'occurrence Michel) avec comme ambition de redorer le blason des Vaillants. Si au niveau du dessin des personnages je le trouve toujours moins bien que dans la série originale par contre rien à redire sur le dessin de la course dans le pur style Graton
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Je poursuis ma découverte des aventures de Michel Vaillant avec ce tome 64, qui aborde les enjeux économiques liés à la sortie d'un nouveau modèle dans l'industrie automobile, toutes les opérations d'espionnages mises en place pour voler les clichés de ces prototypes...et toutes les parades inventées par le constructeur pour préserver le secret. On ne manque pas d'inventivité ni d'un côté ni de l'autre pour arriver à ses fins ! Une aventure assez plaisante au final...
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Cher Michel,
Depuis mon enfance, tu as rythmé ma vie de manière intense. Combien de pneus as-tu usés sur ces circuits légendaires? Combien de bolides as-tu pliés, repoussant sans cesse tes limites pour la victoire? Et pourtant, malgré tous les défis et les sacrifices, je t'ai toujours respecté pour ta détermination, ta loyauté envers tes amis et ton esprit inébranlable.
Aujourd'hui, avec le tome 70, je ressens à la fois la joie de voir tes nouvelles aventures et une pointe de nostalgie. Ton engagement envers la course t'a souvent séparé de ta famille, en particulier de Françoise. Maintenant, il semble que tu puisses enfin envisager de passer plus de temps auprès d'elle, de profiter de la vie au-delà des circuits.
Michel, merci pour toutes ces années d'excitation, d'inspiration et d'amitié. Tu as été bien plus qu'un personnage de bande dessinée pour moi, tu es devenu un ami. J'ai hâte de suivre cette nouvelle étape de ta vie, car je suis sûr qu'elle sera tout aussi captivante que tes courses endiablées.
Avec toute mon amitié,
Utopiya
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100 millions pour Steve Warson... peut-être pas.
L'aventure continue à un rythme effréné. Pendant ce temps, la déception concernant les nouveaux choix graphiques commence à s'estomper.
L'argent et la notion de nécessité qu'il génère sont au cœur d'un débat. Les scènes d'accident, autrefois naïves, sont désormais plus agressives et rendent le récit plus vif, plus incisif.
Le suspense persiste jusqu'à l'ultime épreuve, une course de championnat sur l'anneau de vitesse du Texas Motor Speedway, connu pour être le circuit le plus rapide du monde.
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La série devient de mieux en mieux... documentée. L'introduction de la série nous plonge dans un décor texan. Des visages malveillants au volant d'une voiture, une voix familière. Le leader ayant disparu de la scène, ce sont les Texas Drivers qui se reforment pour reprendre le rôle du méchant. Ensuite, un saut en Afrique pour le Paris-Dakar. L'aventure sur les pistes africaines reprend vie une fois de plus. L'intrigue est simple, mais efficace, avec de petites touches d'humour qui pimentent l'aventure. Cela reste plus spectaculaire que dans les décennies précédentes. Le récit raconte l'aventure, humaine et mécanique, au fil des jours, avec son lot d'imprévus.
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Après la lecture du tome 1, j'ai voulu lire celui tiré du film de Luc Besson (film que je n'ai pas vu). J'ai bien aimé l'histoire (plus moderne), même si cela reste basique. Nous retrouvons Michel Vaillant qui va courir les 24h du Mans, mais certains vont lui mettre des bâtons dans les roues... Je recommande pour les fans de Michel Vaillant et les fans de sport automobile.
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Des leaders des vaillants aux 24h du Mans, du suspens jusqu'au dernier moment, tout les ingredient pour faire une bonne histoire. Une bd nettement plus réussie que le film
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En se rendant dans les bureaux de Renault pour discuter l'achat de moteurs pour équiper ses voitures, Michel Vaillant n'aurai jamais oser imaginer se voir proposer de piloter une de leurs deux F1 lors du prochain Grand Prix de France.
C'est la tuile pour Renault.
Un de leur pilotes, Nico, vient de se blesser à la cheville et est tout pour 15 jours, laissant le seul Ricciardo en piste.
En termes d'image, pas question d'aligner qu'une seule voiture lors de "leur" Grand Prix.
Renault joue à domicile, en France, il leur faut absolument un pilote expérimenté pour assurer l'intérim !!
Les "juniors" sont un peu juste et.... Michel Vaillant est Michel Vaillant, donc pourquoi pas.
Mais voilà, Michel n'a plus trop la tête à la course depuis le décès de Jean-Pierre, et si il a encore de beaux restes et un palmarès vertigineux, il ne connais pas la voiture.
Cerise sur le gâteau, le Grand Prix est dans ... 13 jours.
Sans préparation, sans la moindre connaissance technique du bolide... l'expérience semble vouée à un bide cuisant et total, ce que la presse spécialisée n'a pas manqué de pointer du doigt.
Sans compter que pour la société, Vaillant, il y a aussi plus à perdre qu'à gagner car en-cas d'échec, cela pourrait aller jusqu'à hypothéquer le retour de Vaillant à l'avant-plan et sur les circuits.
Mais Michel a la course sans le sang, et tous les risques liés à une potentielle issue négative peuvent tout aussi bien devenir de magnifiques leviers en-cas de succès.
La course est dans 13 jours... il est temps de se préparer !
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Il s'agit d'une histoire d'espionnage industriel concernant un prototype révolutionnaire que Vaillant doit présenter au salon de Genève. C'est en réalité une aventure fort ennuyeuse. Comme le dit Françoise, "cette fois, les adversaires sont différents," à moins qu'il ne s'agisse d'une illusion.
"Opération mirage," ce titre m'évoque de la magie, de la folie, de l'action. On court après des mystères, on défie l'ennemi à fond la traction. La Confrérie des Ombres, ce sont nos adversaires, il faut se battre pour protéger le monde. Ouais, ouais, ouais, il faut s'engager dans le combat !
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Cabral a émergé en tant qu'un des nouveaux magnats de la Silicon Valley. Lorsqu'il a généreusement offert son parrainage et son soutien logistique à Vaillant, cela s'est avéré être une proposition irrefusable pour Jean-Pierre.
Les prémices d'une réussite éclatante ont été palpables dès l'aube de la saison. Cependant, un moment de perplexité s'est insinué jusqu'à un certain point critique.
Après deux volumes lamentablement infructueux, l'équipe Graton a réaligné son récit avec une trame narrative d'une orthodoxie remarquable, et par conséquent, d'une satisfaction considérable.
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"Paddock"
Cet album est placé sous la volonté de moderniser la série. Dans un premier temps, la série nous plonge en immersion dans le paddock, la vie et l'univers des mécaniciens.
Henri Vaillant va lui-même mener l'enquête pour démasquer un saboteur rôdant parmi le personnel du paddock.
La série, qui trouve du renouveau et de la fraîcheur, étoffe des personnages historiquement neutres et flegmatiques.
Nous replongeons en 1994, année qui a vu la disparition simultanée de Ratzenberger et de Magic Senna. La F1 ayant perdu son enfant chéri, devra trouver un nouvel héros à idolâtrer. La saison sera tendue jusqu'au bout, jusqu'à ce Grand Prix d'Adélaïde qui est justement la scène du sabotage. Durant ce Grand Prix, Schumacher gagnera son premier titre en commettant l'irréparable. Au 36e tour, sous la pression de Hill, Schumacher se loupe en prenant le virage serré qui mène à Flinders Street. La Benetton touche le muret puis revient en piste juste sous le nez de Hill. L'Anglais voit là l'opportunité tant espérée de prendre la tête : à l'entame du court droit à 90° qui suit, il se porte à la hauteur de son adversaire et se jette à l'intérieur. Mais Schumacher prend le virage comme si Hill n'était pas là. Le choc est instantané : la roue avant-gauche de la Williams harponne le ponton droit de la Benetton qui se soulève, retombe au sol et termine le nez dans la barrière de pneus. Schumacher quitte son habitacle, livide, croyant avoir perdu le championnat. Mais Hill regagne les stands au ralenti ! En tout cas, l'abandon de la deuxième Benetton offre à Williams le titre mondial
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Un tome bien à part et pour la seconde fois cebtre uniquement sur Jean Pierre Vaillant.
Cette fois le ressort est financier, dramatique et montre un frère qui s'est effacé pour la marque et son champion et rêve enfin de reconnaissance et d'éclat.
Dans nouvelles saison cependant les ressorts sont plus sombres ...
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Retour au sport après un opus plus noir ... une superbe couverture .. une fluidité une impression de vitesse ... dessin et scénario de très belle facture.
Avec toujours en suspens l'avenir de la marque et de Jean Michel.
Ce soir là suite ... ça promet.
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Un bon dessin, un bon scénario, réaliste mais pas à 100% ... un retour au rallye après une belle absence ... une victoire... des freins qui lâchent mais ....
Mais au total c'est pas mal du tout avec en toile de fond un bon cliffhanger
La suite donc ...
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Avec cette nouvelle saison on abandonne le style années 60 de Jean Graton avec des héros très lisses et un happy end de rigueur sur un scénario montrant la marque Vaillante toute puissante et présente sur tous les circuits du monde et dans tous les sports mécaniques.
Le scénario est solide, plus réaliste et ancré dans le contexte économique actuel.
Si l'histoire est prenante le dessin.quznd à lui reste vraiment à revoir, à tel point que parfois les personnages sur certaines cases sont méconnaissables et totalement bâclés.
Cette présentation des personnages peut être également déroutante quand on est habitué aux anciens albums.
A voir donc si le dessin évolue sur les 9 suivants ...
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Petite parenthèse dans la nouvelle collection avec ce tome, tout entier concentré sur Michel et la reprise de la compétition dans une autre écurie. Une façon pour lui de se remettre sur le devant de la scène pour relancer l'écurie Vaillante.
Je ne suis pas objective s'agissant de Michel Vaillant ! Ce tome n'a pas fait exception, je l'ai lu d'une traite, dans ma bulle.
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Lu dans la version work in progress
Un pilote vient de se blesser, Michel est appelé en toute hâte pour le remplacer au pied levé. Mais celui-ci hésite ! En effet il a très envie de reprendre la course en F1 mais celle-ci débute dans 13 jours. Il ne connait pas la voiture et est probablement pas en bonne forme physique. Michel est un gagnant s'il revient c'est pour gagner pas pour faire de la figuration qui risquerait de définitivement mettre fin à ça carrière... Cet un album est un ''work in progress''. En gros les planches ne sont pas toutes colorées, certaines sont crayonnés ou en noir et blanc. Pas mal si vous êtes intéressé par le travail effectué par les auteurs et voir l'évolution de l'album . Vous pouvez bien sûr attendre l'album fini qui viendra plus tard pour un résultat optimal. A noter qu'il y a un supplément après le récit, quatres aventures au circuit Paul Ricard paruent en album publicitaire dans les années 70. Au niveau de l'histoire, on retrouve les suspens de la courses de F1 que l'on avait plus vu depuis un certain temps. Michel va devoir affronter des Lewis Hamilton, Vettel ou autre Verstappen. Beneteau et Lapière surfent sur l'actualité en intégrant des pilotes réelles comme c'est souvent arrivé dans le passé avec Graton l'auteur initial. Dommage qu'on ne voit que leur voiture et non le visage cela aurait été intéressant de voir le dessinateur travailler là dessus. J'imagine que cela arrivera plus tard dans les prochains albums
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